Oh! Tu es tout blanc [Kim Chin-Hae]

Jour de repos pour le batteur des Prayer? Pas vraiment. Il avait dû se lever aux petites heures alors que le soleil commençait à montrer timidement le bout de son nez durant les deux semaines qui venaient de se passer. Tout ça pourquoi? Juste pour préparer le marketing de l'album qui sortait dans même plus un mois maintenant. Dès l'instant où il arrivait à la White Entrainement, il voulait dormir. A la place c'était répétition de chorégraphie pour le deuxième clip, courir chez le styliste pour l'essayage des vêtements et choisir la tenue pour la séance photo. Ensuite se rendre chez la coiffeuse/maquilleuse qui lui tirait les cheveux juste pour se venger d'avoir été aspergé par l'adolescent lors d'un de ses jeux enfantins. En parlant des jeux enfantins, il n'avait même pas pu joué tellement il avait eu un emploi du temps de ministre. Après tout ça, il devait se rendre dans un endroit de Séoul pour rejoindre les membres du groupe pour une séance photo, une répétition du clip. Manger? N'en parlons même pas, ils devaient manger sur le pouce tellement ils n'avaient pas le temps. A la fin de la séance, ils se séparaient ou pas pour se rendre à des rencontres avec des journalistes ou ils se retrouvaient touts pour répéter. Mais vu que c'était souvent en soirée, Kai était irritable, Taiki s'endormait, Yûji soupira, et Leigh essayait de motiver tout le monde. Deux semaines chargés.

C'est donc un batteur endormit que nous retrouvons dans sa chambre en ce beau jour, une jambe étant sortit des draps, sa tête se trouvant sous son oreiller, lui-même tenu par deux bras qui l’enlace. Il dormait du sommeil du juste, ne rêvant pas mais juste dormir. Ça devait même pas faire cinq heures qu'il était dans son lit comme un bien heureux. Quand le son du sirène le réveilla. Il ouvrit un œil, puis l'autre, et regarda l'heure. Trouvant que c'était encore trop tôt, il se recoucha et ferma les yeux. Durant dix minutes, il se mit à gigoter dans tout les sens, essayant de trouver une position qui lui permettra de se rendormir. Mais rien. Dans un soupir, il décida de se lever, poussant ses draps sur ses pieds et attrapant un t-shirt qui jongeait le sol de sa chambre avec pleins d'autres choses que je ne vous citerai pas de peur de vous rendre malade.

Il se dirigea d'un pas fatigué vers le frigo pour attraper la brique de jus d'orange et quand il ferma la porte, il vu un mot de son meilleur ami.

" Calinou pourrais-tu aller faire deux trois courses car nous n'avons plus
rien. Je t'ai laissé une liste sur la table basse. Passe un bon jour de repos."

Il fit servit un verre de jus d'orange avant de récupérer la liste de courses. Et là, un gros soupir sortit de ses lèvres. Taiki lui demandait pratiquement d'acheter tout le magasin. Et il allait trouver ça où de la farine européenne. Tout ça pour essayer le nouveau joujou que le bassiste s'était acheté. Un appareil à faire les pâtes. Il déposa son verre et la liste sur la table et partit se changer.

Quelques heures plus tard

Le jeune homme était déjà passé trois fois chez lui déposé diverses sacs de courses. Et maintenant, il flânait dans les rues de Séoul pour trouver après un magasin qui vendait cette foutue farine. Ça faisait quand même une bonne heure qu'il rentrait, vérifiait puis sortait. Quand là, il découvrait la caverne d’Ali baba. Le lieu se trouvait dans la rue commerçante pas trop loin de Kirin, tant mieux. Il pourra envoyer Taiki en racheter si il en voulait encore. La tête en l'air, Kai se mit sur les pointes des pieds pour attraper un paquet. Car oui, les rayons sont grands et même si il a une belle grandeur, il était encore petit pour attraper un paquet de farine. Ses mains se posèrent sur un paquet qu'il tira vers lui et un autre tomba en arrière sur une personne. Mais n'oublions pas que notre batteur adoré est perdu dans ses pensés. Il n'entendit donc pas le crie de douleur de la personne ni le bruit du choc du paquet sur le sol. Par contre, il constata que le rayon d'à côté était parsemé de poudre blanche sur le sol lorsqu'il s'y engagea. Étant un grand enfant, il se mit à sourire tout en regardant où il mettait ses pieds, la tête baissé vers le carrelage.

Quand soudain des chaussures saupoudrer de farine apparurent dans sa visions. Il s'approcha encore un peu pour constater qu'il n'avait pas rêvé. Et là, il eut l'idée de génie de se mettre à genoux, de déposer le paquet de farine sur le sol, et se pencher vers les chaussures pour mieux voir.. Avant de relever la tête et de demander d'une voix amusée à la personne en haut de lui.

"C'est la nouvelle mode à Séoul?"

Il venait de finir une journée horrible à ses yeux, il avait été obliger d'assister à tous ses cours puisque chaque professeur avait décider de mettre un test dans le cours et souvent cela sait été présenter vers la dernière heure du cours, donc il c'était fait emmerder toute la journée pour ne pas manque un seul examen. Maintenant il assistait au dernier cours et l'examen n'avait toujours pas eu lieu, il ne restait que vingt minutes avant la fin de la journée que l'enseignant ce décida à leur donner. Le coréen ne le fit qu'avec cinq minute, le remis a l'adulte et sortit, directement dehors rester enfermer toute une journée entre quatre mur blanc n'était jamais bon pour lui.

Au moment que la clocha sonna il prit la direction vers chez lui, les étudiants se ruant ver l'extérieur pour aller s'amuser ou autre était encore pire à ses yeux que l'école elle même, il aimait la compagnie des gens mais pas en troupeau.

Chez lui, il jeta son sac et son manteau dans un coin commençant à se déshabiller pour se laver il ressentir la faim d'un seul coup. Laissant la salle de bain, il bifurqua vers la cuisine jetant un œil à ses armoires et si frigidaire tour aussi vide les uns que les autres. Encore une fois la chaleur de sa douche allait décor attendre, il devait ressortir et aller au magasin le plus proche de chez lui, mais étant petit il n'y trouva rien encore une fois. Ce soir encore il allait aller plus loin la ou il trouverait tout ce dont il a besoin, pourquoi il allait toujours à celle la s'il finissait tout le temps d'aller à l'autre.

Arriver, il en fit le tour prenant son temps un panier à son bras il avait envie de fruit de mers, de pâtes, de pleins d'autres chose pour un souper. Il fit chacune des allées prenant tout ce dont il avait envie ou besoin. Chin s'arrêta dans une section regardant un produit ayant plusieurs marque différente du même produit. Même s'il était affame, il prit le temps d'examiner chaque marque n voulant pas prendre la moins bonne, son choix fait il déposa celle non choisit et se pencha pour ramasser son panier mais au moment de se relever il reçut de quoi de lourd et dur sur la tête, il se retrouva de suite blanc comme neige.

Vraiment pas heureux de cette mésaventure, il tassa les produit pour voir qui venait de lui jeter de la farine, il ne vit qu'une ombre se diriger de son côté, il alla donc à sa rencontre l'air de vouloir tuer quelqu'un.

C'est la nouvelle mode à Séoul ?

Quoi ?! Nouvelle mode, non mais il se fichait de lui. Pour l'étudiant ça en était de trop, il n'arrivait pas a se contenir et parla un peu plus fort qu'il ne le voulait.

Pardon ! Vous venez de me jeter cette farine sur la tête vous croyez que je m'amuse à me transformer en yéti ?

La tête relever vers l'inconnu, Kai remarqua que son regard était sombre. Il avala sa salive et était sur le point de se relever. Lorsqu'une voix forte se fit entendre.

Pardon ! Vous venez de me jeter cette farine sur la tête vous croyez que je m'amuse à me transformer en yéti ?

Lui qui était assez souple vu le nombre d'heures de sport qu'il faisait depuis son arrivée à Séoul, perdit l'équilibre. Sur son visage on voyait un air étonné mais amuser en même temps. Etonné, car il ne comprenait pas vraiment comment l'accoutrement de l'inconnu pouvait être de sa faute. Amusé, pour la fin de la phrase. Se transformer en yéti. Et là, sa mauvaise humeur partit aussi vite qu'elle s'était installée depuis qu'il était levé. Kai se mit à rigoler tout en tombant les fesses premières sur le sol. Sa main droite alla percuter son sac de farine et une pluie de poudre blanche se mit à virevolter autour de lui. Un "Oh" sortit d'entre ses lèvres. Que devait-il faire? A s'écouter lui, vu qu'une partie du sol était couvert de farine, il se serait bien amusé à faire un ange - comme quand il neige à Tokyo, un moment d'amusement avec Taiki lorsqu'ils étaient un peu plus jeune. Mais il avait eu une discussion avec leur manager qui lui avait demandé de se comporter en adulte lorsqu'il ne se trouvait pas avec les autres "Il faut quand même te rappeler que tu fais rêver. Ton comportement enfantin ne doit pas être connu du public." Il avait boudé en croisant ses bras sur son torse avant d’acquiser d'une petite voix. Il se releva donc non sans mal. Il sourit à l'incconu avant de lui tendre un mouchoir pour qu'il puisse au moins essuyer son visage. Et fit de même avec un autre mouchoir. Lorsque sa petite toilette fut fini. Il s'approcha de l'inconnu pour le détailler d'un peu plus près.

Kai se pencha donc un peu pour approcher son visage du sien. Il ne faisait pas ça en mal, loin de là. Il le dévisagea juste pour voir si de la farine se cachait encore. Il sourit lorsqu'il aperçu un peu de poudre blanche dans les sourcils. Et là sans réfléchir, passa un doigt doucement pour enlever ce qui traînait.

"Voilà, comme ça ton visage est propre."

Il se mit à regarder de la rayon, le sol était blanc, juste la marque de leur chaussures montrer le sol d'une couleur sombre. Il fit deux pas en arrière avant de se mettre à regarder ses vêtements. Couvert de farine. Il passa une main dans ses cheveux pour faire tomber le reste de farine, puis se mit à se secouer comme un chien pour faire tomber le plus gros. A la fin de son manège, il relava son regard vers l'inconnu. C'est vrai qu'il ressemblait à un Yéti. Couvert des pieds à la tête avec juste son visage redevenu normal. Il repassa sa main dans ses cheveux - tic nerveux- avant de lui sourire de toute les dents.

"Je ne comprends pas vraiment comment ton état est dû à moi. Mais, je pense savoir comment me faire pardonner."

Le chef de magasin arriva à cet instant. Se mettant à parler vite, très vite pour le pauvre Kai qui même si il comprenait le Coréen, trouvait qu'il parlait un peu trop vite. Il comprit qu'ils devaient quitter le lieu dans les plus brefs délais. Car ils faisaient peur aux autres clients. Kai, se mit à protester lui rappelant que cétait de leur faute si ils étaient couverts de farine. "Comment pouvez-vous avoir l'idée de mettre des charges lourdes en haut d'un étalage?" Il fit non de la tête lors de la réponse du gérant. La discussion dura encore deux minutes avant que le jeune Nabeshima décide d'y mettre fin. "C'est bon! Je paye pour les dégâts et..." Il se tourna vers l'inconnu. "Et je paye aussi ses commissions.".

Il se tourna avec un sourire éblouissant vers le jeune homme "Continu tes courses, je paye tout. Puis, on va à la laverie pour laver nos vêtements."Kai a toujours cru que tout le monde était bon et rose. Il ne pensait donc pas à mal en proposant à un parfait inconnu de payer ses courses et d'aller à la laverie se trouvant un peu plus bas dans la rue pour nettoyer leurs vêtements.

Il fit un pas avant de s'arrêter et de dire d'une vois joyeuse. " Au faite, je m'appelle Kai" et il se dirigea vers la caisse.

Il rigolait cet.. ce gamin rigolait, non mais, c'était plus que ce que son humeur de la journée pouvait en prendre, voir l'inconnu qui l'avait enfariner rigoler les fesses au sol comme un imbécile jouait un peu avec ses nerfs. Au moment où enfin il allait lui dire le fond de sa penser, il se releva beaucoup plus sérieux, ce qui l’intrigua, qu'est ce qui est arrivé dans la tête de ce gamin pour devenir si sérieux.Il n'allait pas se prendre la tête avec cela, rien de tout ça ne le regardait de toute façon. Puis son jolie calvaire, lui tendis un mouchoir lui disant de se débarbouiller la face avec, c'est vrai que cette farine grattait un peu, il y passa le mouchoir ce qui l'irrita, la farine n'était en rien curative pour les cellules de la peau. Chin Hae secoua plusieurs fois le mouchoir pour enlever l'excédent de matière blanche dessus, dès qu'il releva la tête après la cinquième fois, il vit une paire de yeux plus que près de son propre visage, trop choqué par la proximité, il n'eut aucunement le réflexe de se reculer et il resta planter là.Son inconnu passa ses doigt sur ses sourcils, n'était- il pas gêner pour agir ainsi, c'était bien la première fois qu'il voyait quelqu'un entrer dans la bulle des autres sans avoir de problème. Puis le jeune homme se décolle de la même manière qu'il était arriver, il s'ébouriffa les cheveux se qui mit encore plus de farine partout, déjà qu'un peu plutôt il avait frapper un sac intact et cela en avait répandu encore plus. Les dégâts allait couter hyper cher avec cette marque de farine.

Justement le gérant de l'épicerie arriva avec l'air pas très content. Chin Hae se tasse de justesse, cet homme se fichait qu'il soit là, il ne regardait que le coupable de cet incident. L'étudiant suivit l'échange sans ne rien dire, c'est vrai que les sacs était très haut et puits de la farine, ça ne va pas en sur l'étagère du haut, ça coule tout le temps. Le gérant commençait à vraiment devenir rouge de colère, il allait prendre part a la discussion mais encore une fois le coupable le coupa, il allait tout payer même ses courses. Il n'allait pas les payer ! Ce n'était qu'un stupide accident pourquoi payer ses achats. Le gérant partit aussitôt criant a tous que le problème était régler et que les messieurs partait. Le coréen se passe la main dans les cheveux un peu dépassé par ce qui lui arrivait, lui qui espérait une soirée tranquille.

Son malheur le regarda d'un sourire franc et magnifique, l'intimant de terminé ses courses pour qu'il puisse payer et aller à la laverie laver leur vêtements. Et puis quoi encore, en plus d'enfariner les gens, il veut pouvoir les mater sans retenu ?

- Petit génie ont fera quoi en attendant ? Tu veux rester en boxer et offrir le spectacle comme compensation.

En disant cette phrase, sans vraiment de méchanceté en arrière, il passa près de son bourreau et déposa ses achats à la caisse, la jeune dame essayait de s'empêcher de rire, rien pour arranger sa bonne humeur. Juste avant de quitter et avec le regard noir, il s'adressa à la caissière.

- Dîtes à votre patron, de mettre toute charge lourde ou farineuse dans le bas de ses étagères comment les petites personnes comme mon ami pourront faire leurs achats sinon. Qu'il aille avec la logique, la farine ça coule en plus.. Tout le temps.

Puis il quitta pour se mettre a se secouer rendu a l'extérieur, la farine ainsi ne restait pas coller à lui.

Sujet: Re: Oh! Tu es tout blanc [Kim Chin-Hae]

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