Quand les opposés se rencontrent... Une deuxième fois ft Kim Jae Won [finish]

Aujourd’hui était un jour comme les autres. Les cours semblaient longs et ennuyeux, sauf à certains moments de la journée. Comme à mon habitude je me moquais de certains qui faisait les idiots exprès pour amuser la classe mais à la longue ils devenaient légèrement lourds. Moi, Jae Won, je me suis levé, je me suis dirigé vers ces idiots et j’ai fait en sorte qu’ils trouvent d’autres choses à faire de leur vie. S’amuser c’est bien, mais il faut avoir un certain niveau de culture, d’intelligence et d’originalité pour que les gens se mettent à vous suivre dans le mouvement. J’aimais bien me faire remarquer, cela voulait bien dire que je suis intéressant, et que mon physique ne fait pas mal aux yeux. Le prof m’avait demandé plusieurs fois d’affilé de m’arrêter mais je voulais absolument raconter. Je refusais et continuais dans ma lancée. Alors je passais en revu chacun de ceux qui n’avait rien d’autre à faire de cette heure de cours. C’était presque comme si j’avais pris la place du prof, sauf que j’étais considéré comme un élève normal, ou presque. Je les regardais et balançai tous les défauts que j’avais pu constater durant leur médiocre prestation. Certains me trouvaient amusant, d’autre étaient plus ou moins surpris et les concernés se sentaient légèrement humiliés. Le pire dans tout ça, c’est que j’étais sur scène, eux étaient gentiment repartis à leurs places parmi les autres au côté public. Même si le prof n’avait pas l’air heureux, qu’importe, ce qui était important, c’était que je dise le fond de ma pensée.

La sonnerie retentissais, à ce moment-là, je souriais au prof avant de descendre de la scène rapidement avant de prendre mon sac et de partir avant qu’il n’ait eu le temps de m’appeler par mon nom. Pour moi, c’était réussi. J’avais sans doute marqué quelques personnes, ce qui veut dire que j’aurais sans doute des fans parmi eux ? C’est ce que j’attendais. Je pensais soudainement à cette fille que j’ai emmenée de force à mes auditions sans même lui demander mon accord. Oui, cette fille qui faisait tout pour me fuir. Pour une fois que je ne l’avais pas encore croisé, c’était bien étrange et j’avais toujours ce petit sourire. Malgré que j’en aie eu la marque de sa main sur ma joue pendant quelques minutes après ma prestation et que ceci je ne l’avais toujours pas oublié, j’arrivai à en rire plutôt que de la blâmer. Étrange, non ? Mais selon moi, elle m’amusait avec ses manières.
Je me massais la nuque en pensant aller à mon prochain cours, je suivais alors le chemin que je connaissais par cœur vers ma salle, entre-temps je passai par le coin des casiers et à ma surprise, j’aperçus d’assez loin cette Choi Eun Hee. Comment allais-je m’y prendre cette fois-ci ? Je ne voulais pas qu’elle m’échappe, puisque je souhaitais qu’elle réponde à la question que je voulais lui poser. Comme elle était bien concentrée sur ce que contenait son casier je décidais alors de m’approcher sans faire un bruit tout en restant bien cool. La classe incarnée, je vous dis ! Puis, lorsque le casier se refermait, Elle se mis à me crier dessus avant de se rendre compte que les tympans de nombreuses personnes allait souffrir. Je me frottais l’oreille même si je n’avais pas tant eu mal que ça.

« Tu m'as fais peur... »

« Yah ! Tu es folle ? On va tous perdre notre ouïe à cause de ton cri ! Aiiish.. »

Je remarquai qu’elle venait de reculer d’un pas, ce qui me fit lâcher un rire. Elle croyait vraiment que j’allais refaire le coup une deuxième fois ? Je commençais réellement à croire qu’elle avait aimé ce genre de numéro où je suis près, très près même. Je me penchais donc en avant, cela suffisait largement à me retrouver assez proche d’elle et je me mis à la fixer dans les yeux comme pour la première fois.

« Tu crois que je vais encore le faire ? Tu es sous le charme c’est ça ? Rhaaa… Allé avoues ! Tu as aimé ça ! Après tout c’est normal, j’ai du talent ! »

Finalement je me redressai en mettant mes mains dans mes poches, je ne voulais pas risquer cette fois de me reprendre une belle gifle qui fait mal devant tous les autres. J’ai déjà eu bien la honte devant le jury, mais je ne lui permettrai pas de recommencer ça sous les yeux d’un public différent. Pas cette fois !

Cette situation dans laquelle on était me semblait assez amusante. Comme d’habitude, les gens regardaient toujours vers là où je me tenais, près de quelqu’un avec qui je me chamaille ou bien avec qui j’ai juste envie de discuter. Était-ce par mon attitude super cool ? Ou bien juste parce qu’elle avait crié et que ça les avait dérangé ? En tout cas, je ne manquais pas d’audace pour faire signe à ces étudiants, comme nous qui étaient bien trop curieux. Mon signe ne disait rien de bien particulier, juste un simple salut. J’étais assez content qu’elle ne s’en aille pas aussi facilement qu’elle le faisait jusqu’ici. Je me sentais bien et je le montrais avec mon attitude tout à fait décontractée. Cette fille avait encore reculé d’un pas après que je me sois penché vers elle. Elle avait peur de moi ? Ce n’était sans doute pas le moment pour ça et je n’en avais pas l’intention de toute manière.

« Tu... Tu devrais arrêter...de prendre tes rêves pour la réalité. »

Je la fixais soudainement, remarquant qu’elle n’était pas du tout à l’aise, dans la façon dont elle l’avait dit et le fait qu’elle préfère observer la belle couleur des casiers. Je m’esclaffais, prendre mes rêves pour la réalité ? J’ai des rêves, mais ils ne sont pas encore réalisé, ce n’était pas encore le moment d’agir comme s’ils étaient bels et bien réalisés, j’agis comme bon me semble, comme si c’était chez moi, en homme cool, décontracté et simplement curieux envers sa personne. Je voulais répondre mais Eun Hee me devançait avec la seconde chose dont elle voulait me faire par tout aussi embarrassée qu’il y a une minute.

« Tu devrais...plutôt me remercier... Sans moi tu n'aurais peut-être...pas été pris... »

« Anyeo, je crois que j’aurais eu plus d’avis positifs si j’avais choisis une autre fille que toi, mais je te remercie, et pour la prestation, et pour cette gifle que tu m’as donné devant le jury et qui, n’était franchement pas nécessaire. Tu n'es pas "actrice" après tout, tu n'as pas ces compétences.. »

J’avais répondu ça aussi naturellement et sur un ton un peu amusé tout en ajoutant un sourire légèrement ironique. Je savais que sans elle, ça aurait été moins facile mais elle ne m’avait pas autant aidé qu’elle le prétendait, là, devant moi. Ha ! Tout ce qu’elle avait fait, c’était m’humilier légèrement devant le public qui n’était autre que le jury de l’audition. Malgré cela, ce qui m’a permis d’être accepté dans cet école était sans doute ce que je j’avais déclaré juste avant, mais elle m’avait tellement giflé fortement que le bruit et les picotements sur ma joue m’avaient fait sortir de mon rôle avant que je ne me mette à sourire ironiquement. Elle m’avait déconcentré sans le savoir… Elle aurait pu au moins jouer le jeu mais elle en avait décidé autrement !

« Une fille avec un peu de jugeote... aurait vue clair dans ton jeu. Il n'y avait aucuns sentiments... Rien de plaisant. »

Elle me fixait dans les yeux, je n’étais plus aussi décontracté que je l’étais alors je me tournai vers elle, le regard sérieux.

« Même une fille avec un peu de jugeote aurait aimé ce genre de scène même si c’est surprenant. Je ne sais pas qui tu es exactement, mais bien sûr que je n’avais et que je n’ai aucun sentiment et que ne je pensais pas ce que je disais pour toi. J’imaginai juste une belle fille bien formée, et sympathique, pas comme toi. Mais si le Jury a décidé que j’étais admis dans cette école, ce n’était pas grâce au rôle de ta main qui était totalement imprévu dans ce que je voulais faire ! »

Je me mis à soupirer. Et… à regarder les autres. Apparemment, ils refusaient de quitter cet endroit juste pour bien apprécier ce moment. Qu’est-ce-qui était si amusant à cet instant ? Le fait que nous parlions de ce qu’il s’était passé entre nous ? Cela ne les regardait pas… Mais je me fichais quand même d’eux, ils n’étaient pas si importants que ça. Je ne savais pas ce qui la rendait aussi nerveuse, avec ses yeux brillants, je n’ai même pas joué avec ses sentiments alors comment peut-elle être aussi désagréable ? Elle se faisait peut-être de fausses idées ?

« Eun Hee, c’est ça ? Je sais pas ce qu’il te prend, je suis juste un mec populaire, voire idolâtré. Beaucoup de filles auraient rêvé passer cette audition en ma compagnie, estimes-toi heureuse ! »

J’avais parlé tellement vite après avoir vérifié de ne pas avoir écorché son prénom. J’étais peut-être un peu trop direct, mais je n’avais pas réfléchi, impulsif comme j’étais parfois même si cela n’était pas franchement bon, je n’avais pu retenir ce genre de chose qui était comme d’habitude une autre façon de dire que je ne comprenais pas que certaines personnes souhaitaient me résister alors que je suis juste… Cool ! Cette fille était vraiment… spéciale.

Peu à peu cela arrivait à un point que la conversation m’agaçait peu à peu vu ses réponses quand je lui parlais. Tout ce que je voulais c’était un peu de reconnaissance, une petite excuse et surtout qu’elle arrête de me repousser ou de m’ignorer. Je suis si chiant que ça pour que tout le monde trouvent un intérêt particulier à se cacher pour me fuir ? Aish… Les gens sont si peureux de parler à quelqu’un comme moi qui aime parler et surtout raconter mes exploits à n’importe qui, que je connaisse ou pas. Mais bizarrement, elle toussait par moment, et là même elle s’attachait les cheveux. Je lui donnais chaud ou bien c’était les gens autour ?

« Effectivement je ne suis pas actrice... mais danseuse. »

Mais oui, je ne pouvais pas être au courant de tout sur sa personne mais j’avais choisi au hasard, comment aurai-je pu deviner qu’elle n’était pas du même cursus que le mien ? Je ne lui avait pas demandé quoi que ce soit et il me fallait rapidement une personne pour que je puisse accomplir ma scène romantique assez parfaitement mais ça ne s’est vraiment pas passé comme cela. C’était assez gênant pour moi de remettre ce moment précis sur le tapis mais je n’avais guère le choix. Je le remarquais bien qu’elle avait du mal à être décontractée Pour la suite j’étais un peu vexer oui je l’avoue, je n’aimais pas le ton qu’elle avait soudainement pris pour tenter de me clouer le bec. Je lui avais donc répondu en étant sur la défensive. Et elle remettait ça de plus belle en venant me répondre une nouvelle fois froidement.

« Je te parle de mettre des sentiments dans ce que tu fais... Je ne suis pas stupide... au point de croire que tu peux avoir des sentiments pour une fille que tu vois pour la première fois ! Même moi je mets des sentiments... dans mes chorégraphies. »

Je soupirai, j’avais envie de dire assez fort pour que tout le monde l’entende que je sais faire mon travail sinon je n’aurais pas été admis à Kirin et je n’aurai certainement pas été aux casiers à ce moment précis où j’étais en train de lui parler. Elle avait vraiment l’air de me prendre pour un idiot !

« Yah ! Je sais faire mon travail ! Sinon je ne serai pas ici à te parler devant ses casiers et je n’aurais pas cloué le bec à deux gars qui se prenaient pour des signes dans l’amphithéâtre. Tu m’expliques sinon comment j’ai pu atterrir ici ! »

Avant cela, j’étais presque à révéler devant tout ce petit monde que je ne sais pas comment m’y prendre avec une fille hors de la scène. Devant une caméra ou sur une scène, je pouvais être capable d’être quelqu’un de si romantique, sauf pour les petites jalouses comme Eun Hee, mais hors de la scène en redevenant moi-même, je ne peux être capable d’admettre que j’avais des sentiments envers quelqu’un, je n’ai jamais connu l’amour comme le décrivent tous les couples. M’enfin, il ne faudrait pas que qui que ce soit entende ça, je passerai pour une andouille et je ne pourrai même plus parler du célèbre Kim Jae Won et ses exploits. En d’autres termes, de moi et ma vie passionnante. Bref. La miss qui aimait tant ne pas regarder les gens même en pleine discussion, et qui faisait tout pour éviter l’attention des autres avait les joues roses de plus en plus.
Puis, elle chuchotait quelque chose que je ne perçus pas très bien, mais j’avais l’impression d’avoir compris de quoi, ou plutôt de qui elle parlait.

« Je ne fais pas partie de ces filles... Je ne suis ni ta fan... ni ta groupie. Je suis une élève, normale, ok . »

Bon ceci a été dit après que je lui avais dit de s’estimer heureuse pour la chance qu’elle avait d’avoir été choisi parmi tant d’autres, sachant que je suis pas mal ‘’connu’’ pour être l’un des enfants du directeur de l’entreprise. C’était mon père mais cela ne devait sans doute pas l’intéresser, comme elle n’avait l’air d’être intéressée en rien à ce qui l’entoure.

« Peu importe qui tu es ! Tu ne t’es pas dit qu’il serait bien de t’intéresser un peu aux gens qui t’entoure ? Je ne te demande pas d’être ma fan, ni une groupie ! Mais je vois qu’une chose depuis un certain temps, c’est que tu évites tout le monde. »

Je tournai la tête et je compris que ça devenait trop chiant d’être regardés pendant une discussion de ce genre. Je soupirai… Alors je m’exclamais et tentait de les raisonner à aller voir ailleurs ou bien de retourner en cours. En le disant, je ne me rendais pas compte que j’allais être en retard au mien si cela continuait mais de toute manière, ce n’était pas important vu la matière qui suivait. Finalement, je revins voir Eun Hee.

« Les gens ne vont pas te manger tu sais. »

Eun Hee n’était jamais heureuse quand elle me voyait, elle ne l’était pas forcément en l’étant seule. Je l’ai observée une fois où deux sachant qu’elle passait la plupart de son temps à essayer n’importe quoi pour m’éviter, même éviter une autre personne. Peut-être qu’elle ne me détestait pas au fond d’elle-même, ou plutôt pas totalement. Tout au long de notre conversation, elle se comportait de façon étrange, et ce depuis que les gens se sont multipliés dans notre coin. Et entre nous, la tension montait. J’étais pas en colère mais agacé qu’elle ne pense qu’à tenter n’importe quoi pour me fuir ou fuir le regard des autres. Mais en y pensant, comment pouvait-elle espérer monter sur scène devant un public si elle ne supportait même pas que les gens viennent s’intéresser à elle. Il était certain que quelque chose l’avait rendue comme ça. M’enfin, je préfèrerai ne pas à en arriver au stade où je dois fouiner partout pour tenter de savoir ce qu’il ne va pas pour la faire réagir un peu. Et puis, ce ne serait pas très cool de la part d’un jeune homme comme moi. Elle voulait se montrer très résistante envers moi, elle refusait de s’intéresser à ce que je pouvais lui raconter.

Bon par contre, tellement que cela me frustrait qu’Eun Hee soit aussi bornée, forcément je n’hésitais pas trop à lever la voix au moment où je lui demandais si elle ne trouvait pas ça bien de montrer de l’intérêt pour les autres personnes qui composent le monde d’aujourd’hui. Je n’avais pas trop réfléchi pour les conséquences à venir mais quand elle eut les yeux ronds, j’avais directement touché le point sensible de la Noona. Comme si cela ne se voyait pas, j’aimais être assez franc avec les gens, autant pour les filles que pour les gars, et parfois ce pouvait être tellement difficile à entendre qu’on ne le prenait presque jamais bien. Ce pourquoi j’étais assez souvent rejeté par les gens, en plus d’avoir le gros défaut de beaucoup parler de moi et ce que je possède. Suite à cela, pour lui faire plaisir autant qu’à moi – parce que j’ai envie de le dire – les gens étaient trop curieux et ça devenait légèrement pesant les chuchotements, les regards nous fixant juste pour que plus tard ils puissent rire de ce moment assez étrange. Cependant, cela ne me faisait plus autant sourire qu’au départ, c’était devenu un peu usant de faire comprendre à une fille apparemment sourde et aveugle, qu’elle devrait s’entraîner à accepter les mecs qui comme moi cherchent juste à parler et s’amuser. Alors, je chassais les regards indiscrets, laissant au moins trente secondes à la Noona pour réfléchir à ce que je lui avais dit. En moi-même, j’osais simplement espérer qu’elle n’en profite pas pour partir dans mon dos. Du moins, elle n’en a même pas eu le temps. Je revenais vers elle un peu plus tranquille en lui affirmant que les gens ne sont pas cannibales et qu’il n’y a aucune chance qu’ils se mettent à nous manger comme les zombies le feraient.

« Mais c'est quoi ton problème ? Je t'ai demandé ton avis ? »

Jusqu’à présent, il n’y avait eu que moi qui avais haussé la voix mais là, je fus extrêmement surpris qu’elle se mit presque à me hurler dessus. Je n’arrivais pas à en croire mes oreilles et mes yeux et pourtant, elle n’avait même pas coupé sa phrase, et apparemment avait oublié qu’elle souhaitait rester discrète. En temps normal, je voyais que lorsqu’une fille me dit cela c’est uniquement par colère mais je venais de me rendre compte que cela n’était pas le cas de Choi Eun Hee.

« Je n'ai parlé à personne de l'audition, pour ne pas te mettre mal à l'aise, je n'ai rien dis, j'ai continué à faire ma vie... Alors pourquoi... Pourquoi tu ne peu pas faire de même ? Cela ne changera rien à ta vie que je sois seule ou non, je me trompe ? »

Je commençais à croire que c’était comme une situation désespérée pour elle. Je n’aimais pas qu’on hausse la voix sur moi, pourtant aux autres je le faisais même si moi-même je ne le supportais que très rarement. Enfin, apparemment ça lui semblait être complètement désespéré et pourtant je ne sais pas ce qu’il y a de mal au fait qu’un être humain s’intéresse à elle. L’effort que j’avais fait pour lui éviter que les gens ne restent plus longtemps et plus nombreux a finalement été vain puisqu’aussitôt elle venait de les inviter à rester apprécier ce coup de théâtre.

« Yah… Vraiment... Tu ne connais pas ma vie, comment peux-tu oser me demander de continuer à faire ma vie comme si de rien était ? Et si ma vie était de rencontrer les gens et de venir leur parler même si cela n’est pas forcément souhaité et apprécié ? Tu vas me dire quoi ? ‘’Ne peux-tu pas changer ta vie ?’’ ? Et alors, je te répondrai que je l’ai déjà fait et que je l’aime comme elle est même si des personnes comme toi me refusent tel que je suis dans le monde artistique. »

C’était limite si elle n’allait pas fondre en larme. Pourquoi autant d’émotion d’un coup alors que tout ce que j’essayai de faire était de m’intéresser un peu plus à elle bien que la façon avec laquelle je m’y prenais n’était pas forcément adéquat d’après l’avis des gens ? Peu importe, qu’elle soit seule ou pas pouvais tout changer pour elle-même si elle n’avait pas l’air de le savoir. Si elle aurait été accompagné, peut-être que j’aurai abandonné plus vite l’affaire, alors que je n’ai pas peur des autres, moi. Elle ne me laissa ensuite pas le temps de répondre autre chose qu’elle se remit à me dire quelque chose.

« Pourquoi ne fais-tu pas simplement comme tout le monde ? Comme si je n'existais pas ? »

J’étais sûr et certain que ce ne pouvait pas être le cas, d’être totalement invisible aux yeux de la population de Séoul. Je ne sut quoi répondre sur le moment à cause de ses yeux brillants me fixant comme si j’étais la cause de ses larmes prêtes à couler. Elle me tournait ensuite le dos pour fuir encore une fois. Je baissais alors la tête et mis mes mains sur mes hanches. En fait, j’étais partagé encore la frustration et l’envie d’aller régler son problème tout de suite. Mais ce n’était vraiment pas ce que je devais faire, cela ne me regardait pas, encore une fois. Elle était certainement partie prendre l’air ou s’isoler alors je décidais finalement d’aller la rattraper par le poignet et de l’arrêter.

« Yah ! Choi Eun Hee ! Tu ne me connais pas assez bien pour savoir que je n’aime pas faire comme si une personne n’existe pas alors que je l’ai rencontré, je lui ai parlé et je l’ai surtout vu ! Je sais pas ce qu’il ne va pas chez toi, mais dis-toi que l’on se débarrasse pas de moi par de simple mots… ni même par les mains. Pleures ou frappes-moi si tu as mal, mais ne rends pas les autres fautifs de ta douleur… »

Je la regardai attentivement, le visage sérieux. Je ne savais pas m’y prendre non plus pour calmer une fille dans sa propre douleur. Je risquai encore une fois de faire n’importe quoi mais son comportement me gênait de trop.

C’était compliqué avec cette fille, Eun Hee. Ça l’était toujours un peu plus à chaque fois que l’on avait la ‘’chance’’ de se croiser ou même de se parler. C’était dur de ne pas partir dans les chamailleries à presque se dénoncer l’un l’autre de ce qu’il s’est passé entre nous deux depuis que je l’ai, malheureusement pour elle (comme elle le penserait certainement à tort), tirée jusque devant le jury pour mon audition qui ne fut pas tellement un grand succès à cause de ce qu’elle avait fait. Elle était sans doute trop têtue et incontrôlable pour moi mais je n’ai jamais abandonné les choses que je veux mais surtout abandonner les gens comme elle pense que je le ferais par de simples mots qu’elle me prononcerait. Je suis quelqu’un qui aime parler, et être entourer comme il se doit, c’est du moins ce que je pense !

J’avais été un peu trop franc, elle ne le supportait pas mais pourtant c’était ma personnalité et personne jusqu’à aujourd’hui n’a réussi à me changer ces soi-disant mauvaises habitudes. Les gens, tellement effrayé par l’avis des autres et surtout par la vérité, ils préfèrent tous fuir comme des lâches en pensant qu’en évitant la chose, tout ira bien. Quand c’était pour les autres, je le faisais savoir et les raisonnais mais toujours de la même façon, la mauvaise. Ce qui fait que la plupart du temps quand je viens à dire quelque chose de sérieux, on ne veut pas me croire et on m’insulte d’imbécile. Si si, c’est bien vrai. Quand on tentait de me raisonner moi, je ne voulais pas y croire non plus et je continuais dans ma lancé. Je n’aime pas m’avouer vaincu. Je suis comme ça, et il faut pouvoir le supporter.

Eun Hee avait fui se dirigeant là où l’air frais pourrait calmer tout esprit contrôlé par la colère ou bien le stress. Elle pensait peut-être que j’étais prêt à laisser tomber cette affaire totalement ridicule. Oui, c’était ridicule de se battre pour convaincre l’autre de s’ouvrir au monde ou se le persuader que ce n’est pas ses oignons, de laisser tomber. J’allais lui en faire reproche qu’elle était trop têtue et fatigante pour moi mais je m’en suis retenu sachant qu’elle m’aurait dit cette fois que c’est une bonne raison pour laisser tomber. Alors à la place, je lui ai proposé d’arrêter d’être aussi solitaire et que si mes paroles sont si dures à entendre et à admettre, qu’elle pleure ou me frappe. Pour fois, cela m’était égale et ce n’était pas une simple gifle, comme celle de l’audition, celle qui n’a aucune raison d’être. Celle-ci était sans doute pour exprimer ce qui n’allait pas chez elle. Elle avait retiré son poignet si violemment que j’avais cru que cela l’arrangerait bien de me refrapper une seconde fois. Elle l’avait presque fais. Sa main se levait et j’observais attentivement ce geste, tout en sachant que ça allait faire mal mais elle laissait ça tomber. Je fus assez surpris, je l’avoue, d’ailleurs en la voyant laisser retomber son bras, je me remis à la fixer. C’était si silencieux que j’avais presque cru qu’on était dans un enterrement.. Cela me mettait mal à la l’aise. Je me raclai alors la gorge pour tuer ce moment trop calme.

Je m’étais pas rendu compte à temps mais, j’ai vu de mes yeux que cette fois, elle pleurait. Elle vint même à s’excuser de quelque chose, sans doute pour le fait qu’elle rejette toute connaissance à en vouloir savoir plus sur elle et sa vie. Je n’étais pas fort pour consoler une fille qui pleure mais... Je pense qu’il fallait bien que je lui dise aussi que je m’étais emporté et que ce n’était pas mon but de la faire pleurer. Elle s’essuya la joue et enchaîna.

« Mais je ne comprends pas... Pourquoi tenais-tu autant à me parler ? »

« Mianhae… Je suis comme ça, j’ai toujours voulu parler aux gens, j’ai agis comme j’ai toujours fait, sauf que, tu n’as pas compris ce que je voulais simplement faire. Puis j’ai remarqué tout à l’heure ta gêne avec le regard des autres, au départ j’ai cru que c’était moi mais non. Enfin, Je ne voulais pas te faire pleurer avec ce que je t’ai dit, alors excuses-moi. »

Bon, d’accord, c’était rare d’entendre des excuses de ma part sachant que, je ne me suis jamais excusé pour ce que j’ai fait à l’encontre de la volonté de mes parents. Mais en même temps, je n’ai jamais considéré qu’il fallait que je m’excuse pour quoi que ce soit avec eux, puisque, les personnes en tort dans l’histoire étaient eux. C’était à eux de changer et d’accepter ce que j’aimerai devenir, et non pas m’imposer d’autres études qui ne m’intéressent pas. Néanmoins, si je m’étais excusé ici, c’était parce que je n’aimais pas voir une fille pleurer et encore moins si c’était par ma faute alors que ce n’était pas voulu. J’ai déjà fait pleurer des filles en étant bien plus jeune mais elles l’avaient mérité amplement. Eun Hee, même si elle avait été repoussante en me parlant assez mal sans avoir été assez convaincante, elle ne devait pas mériter de pleurer puisque apparemment elle avait un problème personnel assez dur à gérer.

« Je... Je ne veux pas me faire d'amis... je vais... très bien comme ça. »

Sans blague ? Au contraire, je le voyais bien qu’elle n’allait pas bien. Pourquoi avait-elle fuit pour ce que j’ai dit plutôt ? Pourquoi était-elle en train de pleurer ? Certes, j’y étais peut-être allé trop fort mais ce n’étais pas totalement ma faute si ce que j’avais dit était blessant, c’est qu’il y avait une part de vérité qu’elle refusait d’entendre. Je ne pouvais pas faire grand-chose pour l’aider, juste continuer ce que je fais habituellement. Cela a déjà commencé ‘’grâce’’ à mes remarques envers elle et son attitude. C’est que ça la faisait déjà réagir bien que ce ne soit pas agréable, ni pour moi, ni pour elle. Elle me regardait avec ses yeux d’une tristesse, pour la première fois elle me fixait droit dans les yeux.

« Tu sais... je suis désolé de t'avoir frappé... Même si tu le méritais... »

Je tournais la tête et mis les mains dans mes poches, je soupirai tout en lui disant soudainement :

« Oublies… De toute façon, il est un peu tard pour des excuses. De plus, tu allais recommencer avant de sangloter. Je peux comprendre que tu n’aies pas envie d’amis peut-être parce que tu as vécu quelque chose de déplaisant mais tu n’es pas la seule ! Moi aussi je vis des choses désagréables et qui pourrait me faire souffrir si j’étais comme toi ! C’est le cas encore aujourd’hui tu vois ? Je me fais rejeter, et ça ne va pas, mais j’avance sans me soucier et j’évite de me faire du mal. Parce que, regardes-toi un peu, huh ? Si tu allais bien pourquoi as-tu pleuré devant moi ? »

Je me remis à la regarder, pour moi ça n’en valait pas la peine de devenir ce qu’elle était devenu. Je préférais encore me battre à sang jusqu’à en perdre conscience pour éviter cela. Ne pas souhaiter d’avoir des amis était presque insensé pour moi, ce pourquoi je me battais pour me faire comprendre et me faire apprécier malgré mon caractère. Mais… cela était trop compliqué pour le moment, les gens m’ont toujours traité comme un bourge suivant les traces de son père et qui n’était pas capable de se débrouiller seul. J’ai toujours tenté de leur prouver le contraire. Certes, j’ai l’argent qui vient de mon père, la vie sociale parfois bâtie grâce à lui, mais, ce n’est pas ce que j’appelle être un fils à papa, je voulais vraiment me rebeller grâce à cette école mais les gens qui s’y trouvent ne sont pas vraiment aussi cool que je l’espérais. Rien que de penser que ma vie a toujours été la même depuis des années avec les gens qui m’entoure, cela me frustrait davantage. Mais j’allais me taire et continuer d’être confiant pour mon avenir, c’est tout ce que je devais faire.

« Tu ne sais toujours pas ce que tu rates en refusant de connaître les gens, n’est-ce pas ? Regardes-moi par exemple, j’ai peut-être que des défauts à tes yeux mais je vaux le coup ! Je t’assure ! »

Oui j’étais retourné à ma manie de me lancer des fleurs, enfin pour moi ce n’est pas vraiment se lancer des fleurs même si les autres pensent le contraire. Enfin, qui peut m’empêcher de parler de moi, et des choses dont je suis le maître ? Personne ! Alors, autant que j’en profite !

C’était rare mais pourtant bien vrai. Je me serais excusé auprès d’elle-même si je n’en avais jamais eu l’intention si elle ne s’était pas mise à pleurer comme elle venait de le faire. Je me sentais gêné d’assister à ça, croyant même que c’était presque de ma faute si elle pleurait devant moi. Finalement, je me sentais obligé de le lui dire en précisant bien qu’elle ne comprenait pas ce que j’essayais de faire, comme si c’était un gros effort. D’habitude je m’occupe pas des affaires des autres à ce point, et si finalement on me rejette, je les rejette aussi tout en repartant seul vers d’autres personnes en espérant qu’ils me comprennent. Ce pourquoi au final je me retrouvais avec une bonne foule parlant de moi en mal, me regardant de travers. Cependant, je perçus un petit changement entre nous deux, elle était moins bien désagréable comparé à tout à l’heure. J’avais peut-être le don de faire réaliser aux personnes comme elle, qu’il y avait surement du changement à effectuer et qu’elles faisaient une erreur  en me traitant comme un mauvais garçon. Bon c’est aussi vrai, je peux être un mauvais garçon parce que je me bats contre ceux qui viennent me mettre les nerfs. La jeune fille toussota, comme gênée de ce que je venais de lui dire, et me dit :

«  Ce... Ce n'est rien... Ce n'est pas toi... »

Bien entendu, que cela n’était pas vraiment moi celui qui l’a fait réellement pleuré. Si on remonte dans le temps, si elle n’avait pas été comme ça dès le départ, aurai-je été là pour lui dire de changer sa façon d’être avec les autres et faire un effort pour parler même si cela ne lui plaisait pas pour je ne sais quelle raison qu’elle seule connaissait ? Malgré tout, on était opposés mais au fond, quand y songe bien, je n’ai presque personne et elle non plus. Mais à la différence entre nous deux c’est elle qui rejetait les gens en premier alors que je ne faisais que suivre la décision des autres. Pour une fois je brisais un peu cette règle en tentant de lui faire comprendre que ce qu’elle était entrain de faire n’est sans doute pas la meilleure des solutions, quel que soit son ou même ses problèmes. Etre seul, c’est la chose que je craignais, ce n’est pas la pire des choses mais je sais que cela me rendra bien faible et pourrait profiter pour les autres qui me déteste tant. Bien que cela serait terrible, je ne me laisserai pas abattre par la solitude, je détesterai ça mais je continuerai à essayer de me faire connaître, et pas qu’en mal. Ce n’est pas pour rien que j’arrive à me vanter de ce que je suis, parce que je sais ce dont je suis capable, ou presque. Et, j’aime bien le rappeler aux personnes qui m’entoure, afin de dire ‘’ Hey ! Regardez-moi ! Je suis capable de faire pleins de chose, et je vais être célèbre !’’ même si on peut savoir facilement que je suis déjà plus ou moins connu à cause de ma famille.
Enfin, je ne viendrais pas dire que c’est une mauvaise chose, mais s’ils avaient attendus quelques temps, le temps de voir les choses dont je suis capable et être connu par la voie que j’ai choisis et pas celle que l’on m’impose. Est-ce-que quelqu’un pourrait être capable de comprendre cela ?

Est-ce que j’avais besoin d’excuses ? J’en aurais demandé parce qu’elle me rejetait mais, je préférais laisser tomber en lui demandant d’oublier et qu’il était peut-être tard pour m’en faire. Je la secouais au sens figuré, avec mes mots pour qu’elle se réveille un peu. Le monde pouvait être bien cruel surtout pour les personnes comme elle, repoussant les autres par prétexte de vouloir se mettre en sécurité face à ce qu’ils pourraient avoir affaire dans le futur.

« Je suis comme ça... Je ne peux rien y faire... Je n'ai pas pleuré à cause de toi, mais à cause de moi. Je ne veux pas que tu te sentes...responsable de quoi que ce soit...me concernant. »

Eun Hee se racla alors la gorge en posant son regard sur le ciel alors qu’il se trouvait à me fixer juste un peu avant. Ne pas devenir responsable de quoi que ce soit la concernant devient difficile à partir du moment qu’il y a un contact, même que visuel. Mes mots lui avait sans doute remué des choses dont elle ne voulait pas se souvenir mais dans ma logique, il faut passer au-dessus de cela. C’est dur, j’ai vécu des moments plus ou moins dur, mais c’est comme si c’était lié à la peur. On dit bien de vaincre ses peurs pour réussir. Je pense que c’est exactement pareil pour la douleur. Je voulais reprendre la parole mais elle me devança.

« Je vis les choses différemment de toi. J'ai vécu à ma façon ses choses qui font que je suis ce que je suis aujourd'hui...Accepte-le s'il te plaît... »

Je ne savais pas comment prendre cela. Je voyais ça comme une rupture que l’on voyait à la télé, dans les films ou les dramas. Cependant, c’était très loin de me faire plaisir parce que cette situation me faisais penser à ce que je devais simuler comme scène presque tous les jours. Je ne pensais pas accepter ce qu’elle me demandait si c’était pour qu’elle se mette à regretter son choix plus tard. Ce n’est pas que je me sentais un peu comme un grand frère à vouloir la pousser à réussir, mais, je n’ai jamais aimé le gâchis sur cette planète.

« Tu ne sais toujours pas ce que tu rates en refusant de connaître les gens, n’est-ce pas ? Regardes-moi par exemple, j’ai peut-être que des défauts à tes yeux mais je vaux le coup ! Je t’assure ! »


Elle écarquillait les yeux comme surprise de ce que je venais de raconter, je m’étais trompé ? Possible ça ? Je préférais penser que j’ai dû la surprendre pour ce que j’ai dit me concernant. Est-ce que je valais le coup ? Je réponds toujours oui à cette question et le déclare même sans que la question ne me soit posée. Mais venant d’une autre personne, c’était trop rare que cela soit une réponse positive !

« Je n'ai pas toujours été comme ça...  Et tu as des tonnes de défauts à mes yeux... Mais... Très bien... Prouve le moi... que... ça en vaut la peine. Que...tu en vailles la peine... Mais bon courage. »

Je m’étais seulement piégé dans mon propre jeu, étant trop loin d’imaginer qu’elle oserait m’imposer ce défi. J’imaginais que si j’avais raison, cela voudrait dire alors qu’elle changerait de comportement, mais si j’échouais, cela reviendrait à avoir discuté de ça pratiquement pour rien. J’hésitais réellement, elle m’avait posé une colle. Je devais l’avouer, les gens de cette école avaient tous un point commun en me faisant hésiter à ce point… Et je ne pouvais pas faire marche arrière maintenant, il était trop tard et cela montrerait simplement que je me dégonfle, mais ça ne se passera pas comme ça, je soupirai en essayant d’oublier en même temps le fait que j’avais froid, tout en la regardant bien.

« D’accord, je le prouverai. A partir de maintenant, plus question de me fuir quand tu me vois. Tu n’auras droit à aucun échappatoire, tu auras juste à me suivre pour voir que je n’ai pas que des défauts. Considères moi comme un ami maintenant. Alors, on fait comme ça ? »

Cela allait commencer peut-être par partager des choses l’un de l’autre. Mais je sais que ce sera plus moi qui lui parlerai de chose dont je suis fan, et peut-être parler de choses passées, comme les vrais amis le feraient. Il y aura même sans doute plus à faire que se parler, il y a toujours des choses à supporter ou autres. Je sais bien que ce n’est pas ce dont Eun Hee s’attendait mais, pour accélérer les choses et me permettre d’avoir un petit avantage, pourquoi pas ? Sauf si elle refuse directement. Néanmoins, je le prendrai mal puisque c’est son défi et qu’elle rejetterait la seule condition que je lui soumets. Je me débrouillais mal avec les filles, mais j’espère en même temps pouvoir m’améliorer avec ce défi, au final. Pour finir, je lui souriais un peu pour lui montrer que j’étais bien confiant pour cette épreuve.

« Ah, et, j’ai froid et je pense que toi aussi, alors il serait peut-être mieux qu’on reparte à l’intérieur, discrètement ? »