Personnalité KANG JONG JIN ( aka abeoji ) « Cette petite elle ira loin dans la vie, elle a une volonté de faire, peut importe combien de fois elle tomberas, elle se relèvera toujours tant que quelqu’un voudras bien lui tendre la main. Ma fille elle est comme ca, forte et droite. Par contre elle aime un peu trop le café si vous voulez avoir mon avis, une jeune fille de son âge ne devrais pas boire autant de café, déjà petite elle buvais les fonds de tasses ! » KANG SOO EUN ( aka eomeoni ) « Soo Jin est beaucoup trop sensible pour vivre toute seule dans une grand ville comme ca, elle pleure trop facilement et dit trop souvent ce qu’elle pense. J’ai peur que son franc parlé ne lui cause des ennuis. Quand elle était petite elle se bagarrait souvent a l’école, mademoiselle voulais être batman et botter les fesses des gens qui font pleurer les autres » KANG EUN JONG ( aka oppa ) « Ma sœur ? Elle est loyal, attachante, gentille et souriante… Mais c’est une plais, elle est beaucoup trop curieuse, elle parle beaucoup trop, s’attache trop vite au gens et donnerais sa confiance a la première personne venue. C’est une grande romantique, elle adore les dramas à l’eau de rose, et les chansons pour minette.
| Histoire On dit souvent que les actes passée ne comptent pas, que seul le futur donne matière a l’opinons. Mais c’est faux, puisque tu es la, attendant patiemment que je te conte mon histoire. Eh bien étranger, prépare toi à être déçu par la banalité de mes souvenirs. Cela commence comme chaque histoire par quatre mots bien distincts ; Il était une fois….
Il était une fois dans un village pittoresque, au nord de Daegu, un homme et une femme. Une chambre d’hôpital, des cris et des pleurs. Une naissance banale, pour une vie qui le sera un peu moins. Je ne me souviens pas de ma naissance – d’ailleurs qui s’en souviens ?- mais les détails rapporté par ma mère est mon frère, m’avais aidez à y donner forme. Mon père m’as dit que je suis née un soir de décembre, ce qui est vrai, a l’hôpital de Daegu ; ce qui est vrai. Que j’étais sorti aussi rapidement que la pâte de dentifrice du tube, ce qui est faux puisque a mère as eu une césarienne. Mon frère m’as dit que c’était le plus beau bébé qu’il avait eu l’occasion de voir, de un c’est mon frère donc son coté fayot ne m’étonne pas le moins du monde, et de deux, a six ans t’en as vu combien des bébés ? Trou du cul depuis toujours celui la, un grand cru ! Enfin bref. Je ne me rappelle pas non plus mon enfance, certain détails reste vague, comme les quatre premières années de ma vie, les conneries que je regardais a la télévision, l’âge auquel j’ai commencé à parler. Tant de d’anecdote insignifiant, qui pourtant son toujours très apprécier lors des soirées familiale. En revanche je me souviens de chaque moment passer avec mon frère ; malgré le faite que Eun Jong et moi avions six ans d’écarts, nous avions toujours été proches. J’étais plus proche de lui, que je ne le serais jamais avec aucun membre de ma famille. Non pas que mes parents étaient de mauvais parents, ou quelques choses dans le genre, mais…. Le faite de voir que mes parents m’avais toujours favorisé a lui, avait du – inconsciemment – me poussez a lui donner plus d’amour, que je leurs en donnais. Notre père était un promoteur immobilière, un métier noble, mais pas facile a assument dans une petite ville comme la notre. Et ma mère était une femme au foyer, aux tendances despotique, elle aimait – aussi souvent que faire se peut – nous énerver avec ses cours de politesse a deux balles. Evidement Eun Jong n’y allait jamais, a seize ans il avait bien souvent autre chose à faire que d’apprendre utiliser un mouchoir correctement. Mais moi, pauvre petite fille inintéressante, influençable et fortement porter sur la boustifaille. Que pouvais-je faire d’autre de mes weekends ? Puisque nous n’avions pas le droit de sortir, je passais mes journées et mes nuits à lire et a rêvée du jour ou, enfin je pourrais m’casser de cet endroit maudit. Eun Jong lui, ne perdait pas son temps a rêvé « Tu ne peux pas faire ça, Oppa! » « Pourquoi pas ? » « Parce que c’est mal ! » « Soit mignonne et couvre moi deux heures ! Dongsaeng ! Je t’aime fort» Et pouf ! Il avait balancé ses jambes de l’autre coté de la fenêtre et c’était enfoncé dans l’obscurité de la nuit. C’était souvent comme sa, mes parents était trop strict et refusait que nous sortions, surtout en pleine semaine, mais mon frère n’avais jamais respecté les règles de nos parents. Je passais mon temps à le couvrir alors qu’il s’en allait courir les filles avec son meilleur ami, et ces tous les soirs. Bien sur mes parents n’étaient pas stupides, il savait bien que le frérot s’en allait presque toutes les nuits, et que je passais mon temps à mentir pour lui. Les disputes se firent de plus en plus fréquente entres mon frère et mes parents, et bien sur je prenais toujours partie pour mon frère. Mais qui m’écoutait moi ? Du haut de mes douze ans ? Le coup de grâce leurs fut assener un an plus tard, lors que mon frère se fit renvoyer de l’université de Daegu. Ce n’était pas tant le faite qu’il avait gâché ses années d’études qui embêtaient mes parents, mais plus l’argent qu’il avait dépensé pour le mettre dans une bonne école, cet argent précieux qu’ils avaient économisé pendant des années. Je me souviens que mon père et mon frère avait eu une grosse dispute quelques temps après mon quatorzième anniversaire, une dispute tel qu’il ne c’était pas parler pendant une année entière. Il m’avait fallut user de stratagème plus farfelu les uns que les autres, seulement pour qu’ils se disent bonjours. Ce n’est que quand ma mère est moi avions eu un accident de voiture, que mon frère avait décidé de reparler a mon père ; enfin reparler… C’était un grand mot, il avait décidé de ne plus l’ignorer. Plus les mois passaient, plus je sentais que mon frère m’échappais, il se murait dans le silence plus que de coutume. Il pouvait passez des journées enfermer dans sa chambre, feintant de ne pas m’entendre tambouriner a sa porte, je ne fus donc pas surprise le jour ou je le surpris a faire ses valises. « Tu part ? » « Oui… Il faut que je changes d’air » « Tu me laisse ici ? Dans ce trou perdu ? Oppa ! S’il te plait ! » « Tu t’en sortiras petite sœur, et puis j’serais a peine a deux heure d’ici … Entraine toi tu sur ton chant d’accord ? » Tu parles ! J’avais vécu toute ma vie au coter de ce type, assez bien pour reconnaitre le moindres de ses mensonges. Je ne comprenais pas pourquoi il avait toujours eu envie de plus grand, pourquoi il avait toujours voulu quitter notre petite ville pour aller vivre ailleurs. Comment supporterait-il de vivre dans un endroit où la solitude l’attendait ? Ou irait-il vivre ? Et avec qui discuterait-il lors de ses coups de blues ? Bien sur le téléphone, internet et les autres moyens de communications modernes réduisait la distance, mais je savais que notre relation ne survivrait pas à ce déménagement. Après mon seizième anniversaire, mon frère avait quitté le foyer familial pour de bon, mais avant de partir, Eun Jong m’assura que je pourrais toujours conter sur lui, tu parle ! Pour oublier je me suis plongé dans la musique. En un ans j’ai appris la guitare et le piano, j’ai pris des cours de chants aussi souvent que faire ce peut. Et au mois de décembre de la même année j’ai décidé de passer une audition pour le conservatoire de Daegu. Une semaine plus tard la lettre était arrivée…
Je sais qu’un échec n’est pas la fin d’une vie, mais s’investir a fond dans quelques choses pour qu’a la fins on vous dit « Vos efforts ne sont pas suffisant » … Ca fais mal. Mes parents commençait à s’inquiéter et se mirent d’accord d’appeler la seule personne qui pourrait me remonter le moral, Max, qui arriva deux jours plus tard. Et l’effet fut immédiat, son arriver m’aida à oublier cette mauvaise histoire et a me remettre d’aplomb, Eun Jong avait toujours été l’antidote a mes coups de blues, je ne me voyais pas rester sans lui un instant de plus ; ce n’est qu’un vendredi soir que mon avenir pris un autre tournant. Mon frère nous avait annoncé qu’il avait été accepté dans une école d’art a Séoul – lui qui n’avais jamais aimé la musique, ni même le théâtre et qui en fessait simplement pour plaire au minaude - c’est a ce moment la que je perdis à nouveau pied, mon cerveau n’assumais plus ce chagrin qui rongeait mon cœur, un verre m’échappa des mains pour se fracasser en infime morceaux sur le sol. Un mensonge sur une fatigue imaginaire m’aida à m’en sortir, pendant que ma mère ramassait les morceaux de verre, mon frère s’employa a m’expliquer que n’importe qui – si bien qu’il ai du talent – pouvais entre au conservatoire de Daegu, que Kirin, c’était autre choses. Et c’était cette phrase qui m’avait fait prendre conscience que mon frère ne croyait pas du tout en mois. Au lieu de cela j’étais resté muette, pendant presque un an. Le rare échange que j’avais se fessait via sms avec mon frère, le seul à qui je voulais bien parler. Lorsqu’un jour, je me décidais enfin a reprendre ma vie en main, a inverser la tendance. J’avais décidé de tout quitter, mes parents, le confort de mon foyer, ma petite ville et surtout mes douleurs, j’avais décidé de rejoindre Eun Jong dans la grande ville. « Soo Jin, il faut que tu sois sur de toi. On ne peut pas se permettre de jeter de l’argent par la fenêtre pour un caprice » « Eomeoni, ce n’est pas un caprice » Touchant, la première fois en un an que je daignais adresser la parole a mes parents, c’était pour leurs demander de me payer un billet de train pour aller rejoindre mon frère. Je savais qu’il ne me dirait pas non, qu’il ferrait tout ce qui était en leurs pouvoirs pour me rendre heureuse et que malgré le faite de ne pas la comprendre, ils respectaient ma décision. J’aurais tellement aimé leurs faire comprendre que rien n’était de leurs faute, qu’au contraire j’étais l’unique responsable de mon mal être et qu’ils ne devaient pas s’en vouloir ; mais même le jour de mon départ, je n’avais rien trouvé a leurs dirent.
A peine mes pieds avait il frôler le sol de la gare que je me sentais revivre, l’idée même d’avoir tout quitté du jour au lendemain me fessait sourire, c’était une preuve de courage en soit. Mes parents avaient eu la bonne idée de me réserver un taxi pour aller jusqu'à chez moi frère, heureusement car l’idée de me serait jamais venue a l’esprit. Je me souviens avoir envoyé un sms a mon frère pour lui annoncer que mon arriver se ferais le lendemain suite a un problème d’horaire, tout en sachant que mon frère détestais les surprises. Mais je savais qu’il serait heureux en me voyant, tout comme moi je le serais en le voyant. Le chemin de la gare a son immeuble ne pris que quelques minutes, qui me semblait une éternité, j’étais si excité de commencer ma nouvelle vie que la patience ne me sciait plus. Je sortis un papier sur lequel était indiquer l’étage – le quatrième – et le numéro d’appartement – trente sept-, arriver a destination je n’eu pas besoin de toquer, ni même sonner, puisque la porte était déjà ouverte. Il semblerait que mon frère avait décidé de recevoir quelques personne, je n’eu donc aucuns mal à entrer sans me faire remarquer. Et encore moins de mal pour le trouver, je fus tout d’abords déconcerté par la situation avant de sombrer dans une colère noir. J’étais furieuse de voir mon frère fumer quelques choses qui ne sentait pas du tout comme les cigarette de mon père « Tu plaisante ! » « Soo Jin ?! Qu’est ce que tu fais ici ? Tu devrais arriver demain ! » « C’est quoi ca !? Depuis quand tu prend sa ? » « Depuis ce soir, c’était juste pour essayer… Viens-la ! » Il m’avait serré dans ses bras et avait passé la soirée à me rassurer sur son style de vie, mais tout ce qui pouvait me dire me semblait être le reflet d’une réalité amélioré, ou plus communément, un mensonge. Voila donc a quoi était occuper mon héro alors que je n’arrivais pas à me sortir du gouffre dans lequel je m’étais empêtré ? Après un mois à vivre avec lui, je m’étais rendu compte que mon héro n’en été plus un, que l’homme parfais que j’avais en image n’était rien d’autre qu’un mythe et que mon frère comme tout les autres était un imposteur de première. J’avais vu passer un nombre incalculable de fille, vu des quantités de drogues incroyables et très vite je m’étais rendu compte, que Eun Jong était encore plus perdu que je ne l’étais. Après mainte et mainte discutions, il m’avait promis d’arrêter de prendre ce genre de substances et de reprendre sa vie en main, une promesse qu’il n’avait pas duré plus d’une semaine.
Près de quatre mois après mon arriver, je ne supportais plus de voir mon frère écumer les bars a la recherche d’âmes perdus assez désespérer pour partager son lit, de s’égarer dans toutes sortes de stimulants cherchant désespérément le bonheur. Le voir embrasser une vie de débauche absolue m’étais insupportable ; je ne comprenais pas la raison de son mal être et lui n’essayais pas de me l’expliquer. Je n’avais pas décider de tout quitter pour me retrouver dans un cyclone de problèmes, dont mon frère était l’œil ; un soir alors que personne n’était venu squatter ce minuscule appartement que nous partagions, j’avais décider qu’il était temps de mettre les choses à plat. Une discutions qui avait très vite tourner au règlement de compte, nous étions rester tellement de temps sans nous disputer, a se regarder dans le blanc des yeux sans jamais se dire le vrai fond de nos pensées, si bien qu’une dispute horrible avait éclater. Eun Jong m’avait hurlé toute sorte d’insulte, et de reproches sur ma faiblesse mentale, et je ne l’avais pas épargné non plus. Les larmes avait coulé de mes yeux, comment osait il me reprocher d’être faible ; lui qui m’avait abandonné lâchement et m’avait confié a mon bourreau ? Je lui en voulais de croire que l’état dans lequel j’étais était uniquement de ma faute, alors que son silence et son absence avait beaucoup compté. « Vas t’en alors ! J’en ai marre de devoir supporter tes pleurs. Entraine toi autant que tu veux tu ne percera jamais dans le métier » « T’as raison ! T’est vachement mieux que moi entres toutes les filles que tu vois et les conneries qu’tu prends pour te sentir en vie ! » Je ne me souviens pas d’avoir réfléchi, j’ai juste un vague souvenir d’avoir attrapé le peu d’affaire que j’avais rapporté de Daegu et d’avoir filler sans demander mon reste. Après quelques heures à marmonner des insultes a son insu ; j’avais commencé à paniquer, ou allais-je vivre maintenant ? Sans un rond pour payer une chambre d’hôtel, et trop fière pour retourner chez mes parents, un retour hâtif leurs prouveraient ma faiblesse ; et a dernière choses que j’avais besoins c’était d’entendre mon père me dire « Je te l’avais dis, Soo Jin ». Bien heureusement pour moi, j’avais une connaissance dans mon répertoire, qui était en recherche de quelqu’un pour partager son loft situé à quelques rues de l’endroit où je me trouvais. Une jeune fille que j’avais rencontrée lors d’une soirée chez mon frère, avec qui j’avais gardé contact, car contrairement au drôle d’oiseaux que fréquentait habituellement mon frère, cela – malgré ses habitudes de débauche – en avait dans la caboche. Même si aller sonner a la porte d’une personne pour quémander un toit, ne me semblait pas raisonnable, l’idée de vivre dans une auberge de jeunesse ou de dormir sous un pont, ne me tentais pas plus que cela. Trop habituée au confort de ma petite maison de campagne, la vie de sans abris ne m’aurais jamais convenue, je serais morte au bout d’une journée, et sa n’importe qui le savait. Ni une, ni deux je pris mes affaires et me dirigea vers mon nouveau chez moi, la boule au ventre. J’étais apeurer, et si cette jeune fille me refusait le gite ? Que se passerait-il si, la jeune fille avait déjà trouver une colocataire ? Une citation célèbre dit « Avec des si, on changerait le monde » alors ; c’est donc sans autre choix que j’allais frapper à la porte du jeune homme. Un gigantesque ascenseur m’emmena au deuxième étage d’une bâtisse qui semblait désinfecter, pourtant on entendait une musique suturé de basse résonner dans tout l’immeuble. Lorsque la jeune ouvrit la porte – en sous vêtement, histoire de me mettre direct dans l’ambiance – elle ne fut pas surpris de me voir, plus de voir mes valises « Toujours en recherche d’une coloc’ ? » Elle avait sourit et d’un bras avait porté mes valises vers une chambre qui semblait vacante. Le loft était un endroit gigantesque, elle possédait une collection énorme de tableau accrocher un peu partout, et certains qui ne semblait pas fini gisait sur le sol, il y avait une cuisine incroyablement propre – non pas qu’elle fessait tout les jours le ménage, c’était surtout qu’elle ne cuisinait jamais – et une immense salle de bain qui n’attendais qu’une seconde fille pour la squatter tout les matins. Elle ayant expliquer que ma situation n’était pas facile pour le moment, elle m’avais proposer un marche – qui m’avais sur le champs emballer – tant que je n’aurais pas de travail, je ne payerai aucuns loyers, mais en échange je devais veiller a l’intendance de la maison, ménage, cuisine et repassage. Mais elle m’avait donné une règle a ne jamais transgresser, je n’avais pas le droit d’entrer dans une pièce qui se situait en mezzanine, son atelier, la ou ses tableaux prenaient vie.
« C’est le grand jour ? » C’était le grand jour en effet, depuis six mois que je connaissais le jour et l’heure de mon audition, je ne vivais et respirais que pour cela. Même si j’avais regagné du poil de la bête. Je n’avais pas totalement repris confiance en moi, ce n’est que quand je l’ai entendu parler au téléphone avec lui « Ta sœur passe l’audition aujourd’hui » Une voix trop faible pour être comprise se fait entendre a l’autre bout du combiné « Tu devrais venir la soutenir » Cause toujours, faudrait lui proposer de l’argent et encore « T’est trop con pour être vrai ! » J’avais décidé de faire comme ci je n’avais pas entendu cette « conversation » comme ci ce qu’il avait pu dire a l’autre bout du fils ne me touchait pas. C’était mon jour, personne ne pourrais gâcher mon jour. Kirin, nous y voila enfin… On m’a dit que rentre ici serait trop difficile pour moi, que je n’arriverais jamais a percer dans le métier, une fille de la campagne comme moi. Aide moi à leur montrer qu’il avait tord. « Mlle Kang Soo Jin » Un…Deux… Respire. « Quand vous voulez » Mince ! La panique, les paroles de la chanson se sont échapper, tu ne te souviens plus des notes de piano… Deux fois, tu recommence deux fois, manque de confiance en toi. Tu lève les yeux vers les juges qui semble perdre partience. Ils avaient raison, tu n’y arriveras pas, tu n’es pas assez bonne pour sa. Quand tu regarde de l’autre coter et qu’à travers la fenêtre un garçon te mime « FIGHTING ! » Tu reprends confiance, tu t’excuse et recommence. Tes poumons expulse l’air qui se transforme en notes, tes yeux se fermes pour contenir les larmes des souvenirs évoqué dans cette chanson et tes mains se referment l’unes sur l’autre comme lors d’une prière. Lorsque mes yeux s’ouvrent… Personne ne dit rien, je ne sais pas si j’ai réussit. On m’annonce que je dois aussi passer une audition de danse. Tout va bien, j’ai confiance en moi maintenant « Mlle Kang Soo Jin ? » Bom bom, bom bom… Calme-toi cœur ! « Oui ? » On me tend un papier, je n’ai pas le temps de l’ouvrir que l’homme me sourit « Félicitation » Les larmes coulent sur mes joues, mon cœur bat la chamade. J’ai réussit, je suis élève a Kirin. Depuis les choses n’ont pas été facile, j’ai du travailler du pour rester parmi les bons élèves de Kirin, chaque années me surpassant plus que la précédente. Mais malgré mes efforts je sens que rien ne bouge. Tout le monde autour de moi a été choisit pour être trainée, moi j’attends encore… J’aurais vingt et un ans a la fin de l’année.
Donc me voici, trois ans plus tard. Vivant à Kirin la semaine, et chez ma sauveuse le weekend, sans contact avec mon frère et employé a temps partiel dans un bar de Hongdae. Une vie bien tranquille qui as hâte d’être déranger par de nouvelles tribulations...
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