Sujet: Nam Se Hun Sam 27 Avr - 22:37 | |
| Caractère « - Nam Se Hun… Où le plus grand râleur vu au monde sur la Terre. C’est à se demander s’il n’est pas né sur une autre planète composée de martiens râleurs, susceptible et qui déteste perdre. Je n’ose imaginer le résultat avec des Se Hun un peu partout sur une seule même planète. Un seul Se Hun, c’est déjà horrible, alors …. Bon, c’est bien tout ça, mais j’ai autre chose à faire moi ! Comme par exemple finir de vous avertir sur ce *censuré* de Se Hun et me casser vite fait bien fait avant de terminer en brochette. Il est carnivore, je vous le dis ! Personne ne veut me croire avec sa gueule d’ange, mais il nous mangera tous un jour ! Et après un bon gros rot (manger tous les étudiants de Kirin, ainsi que les professeurs et les idoles c’est pas rien quand même !) il partira se nourrir ailleurs. La fin est…. - Bonjour ! Nous sommes confrontés à un petit problème technique, notre présentateur vient de terminer sa vie prématurément. Je prendrais donc le relais… »
Se Hun était allongé sur un lit. La fenêtre ouverte sur la ville laissait le vent entrer et agitait les mèches du jeune musicien. Les yeux clos, la tête reposant sur la couverture, Se Hun semblait loin de la capitale, dans un rêve interminable. Dans la pénombre paisible de la nuit, personne n’aurait pu se douter ce qui habitait ce corps. Pendant que de nombreuses personnes de son âge étudiait, travaillait ou simplement vaqué à des occupations divertissantes, Se Hun tentait tant bien que mal de réaliser un rêve. Un rêve qui semblait inaccessible pour quelqu’un comme lui. Comment un garçon qui passe plus de temps en boîte, à draguer (et plus si affinité), se battre et direction le commissariat pouvait un jour monter sur scène ? Se Hun n’était pas du genre à obéir. Beaucoup de témérité et énormément de tête-de-mûlité (ben quoi ?) avait rendu la tâche impossible à son beau-père de faire quelque chose de lui. Jamais Se Hun n’avait porté le moindre intérêt pour les études. Apprendre par cœur ? Non, ce n’était sérieusement pas pour lui. Se Hun était aussi sérieux dans les études, que mûres et attentif (autrement dit, sur une échelle de 0 à 10, ce serait -10). Le jeune musicien n’est d’ailleurs pas plus digne de confiance. La fidélité n’a jamais fait partit de ses principales qualités, et s’il n’irait pas raconter les secrets des autres (les ragots n’était pas vraiment à l’ordre du jour pour lui), ça pouvait facilement lui échapper… Ne nions pas l’évidence, sa petite personne passe souvent avant les autres. Mais il n’est pas pour autant égoïste et imbu de sa personne (ha bon ?!). Il peut se révéler être un ami très util… euh un ami très proche. En parlant d’ami… Se Hun n’est pas très extraverti, en réalité, il n’aime pas avoir trop de monde dans son cercle de proche, mais comme il aime autant être apprécié de tous qu’il aime la musique, il se fait toujours passer pour le gars amical et sociable. Il n’est pas si mauvais acteur en fait… Par contre, si il y a bien quelque chose qu’il ne sait pas faire, c’est garder son calme. Dès qu’on l’énerve, il se met à frapper (et il se bat plutôt bien). Il est aussi très susceptible, donc si vous voulez garder votre tête sur les épaules, et vos mains accrochées aux poignets, vous savez ce qu’il ne faut pas faire… Surtout qu’il est plutôt rancunier, alors... Si Se Hun se bat bien avec les poings, il est aussi très persévérant, et il a l’esprit très combattif. Il aime les défis, et il ne les perdra pour rien au monde (sa fierté personnel vous comprenez…). Quand il ne passe pas son temps dans la musique, Se Hun est très fêtard. Comme il préfère s’entrainer seul, c’est un bon moyen pour lui de ne pas rester totalement associable. Et qui dit fête, dit alcool. Le croiser un peu trop bourré ne serait pas impossible, loin de là… Il bois comme un trou, et fume comme un pompier.
« Si maintenant vous n’en savez toujours pas assez, notre présentateur a eu une légère altercation avec notre patient, je préfère donc m’arrêter là avant d’avoir moi aussi des dommages collatéraux. » Biographie La capitale, plongeait dans la nuit défilait à toute allure aux yeux des deux motards. La route était plutôt calme pour une route de Séoul. Il n’y avait que quelques voitures et une moto. Celle de Se Hun. Derrière lui, s’accrochant au torse de son ami, celle que le jeune homme avait toujours aimée. Un amour d’enfance devenue inséparable au fil des années, digne d’un conte de fée ou d’un drama. D’un drama dramatique… La moto filait sur la route, entre les voitures. Le feu passa au vert au moment où Se Hun ralentissait pour s’arrêter. Il accéléra et suivis un taxi sur l’allée. Se Hun n’avait pas beaucoup bu, il ne voulait pas conduire bourré. Il était presque sobre. Mais le presque ne devait pas suffire. Il ne vit qu’au dernier moment une voiture déboulait dans la nuit, grillant le feu rouge. Dès qu’il comprit, il freina, cherchant à éviter la collision. Grossière erreur, il fallait accélérer. Se Hun sentit quelque chose accrocher l’avant de la moto à moins que ce ne soit l’arrière ? Il sentit juste que quelque chose n’allait pas. Et puis le trou noir.
Il se réveilla sur un lit trop dur pour être un lit. C’était du goudron. Une route ? Pourquoi il dormait sur la route ? Aïe ! Pourquoi il avait l’impression que sa jambe droite était devenue de la purée Mousline ? Puis il la vit. La moto. Elle reposait sur sa jambe. Le son au loin n’était pas la sirène de la police ? Ou de secours quelconque ? Il ne savait plus. Il ne savait pas. Se Hun ne voyait qu’une chose : un corps inerte non loin de lui. Une rivière coulait le long de la tête. Ses cheveux. Eun Ah ? Se Hun poussa la moto. Celle-ci lui arracha un gémissement de douleur, puis il rampa vers la forme. C’était elle, Eun Ah. Elle était magnifique quand elle dormait. Elle était paisible, calme, comme dans un rêve. « Eun Ah, réveille-toi. On doit partir… » Se Hun agita le bras d’Eun Ah. Il ne cessait de répéter les mêmes mots : « Eun Ah, viens on va être en retard ». Dès fois il s’énervait et disait plus fort d’un air méchant de mec bourré « Eun Ah ! Viens, c’est un ordre ! ». Mais elle ne réagissait pas. Pourquoi il tenait tant à dormir ici ? Puis il sentit qu’on le saisissait et qu’on le tirait en arrière. « Non on doit ramener Eun Ah ! Viens Eun Ah ! Laissez-moi, j’ai promis que je la ramènerais ! » La personne qui le tirait en arrière ne disait pas un mot. Il ne pouvait rien dire face au jeune musicien râleur qui semblait bien loin de la réalité. Il était trop tard, Eun Ah ne se réveillerait plus jamais. Les secours qui étaient sur place ne serviraient qu’à soigner les survivants, quelques peu blessé. Ils étaient au nombre de trois. Le conducteur d’un taxi qui roulait auparavant derrière la moto, Se Hun, et le conducteur de la voiture qui avait déboulé. Tous les trois étaient blessés. Se Hun avait la jambe droite salement écorché, et un filet de sang qui sur le côté de sa tête. Le chauffeur de taxi avait pris un coup sur le côté gauche en braquant son véhicule,$ et son bras ferait un léger séjour dans un plâtre, tandis que le conducteur du véhicule « fautif » s’en sortait avec presque rien. Rien de très visible du moins. Tout autour, tout le monde s’agitait. Après l’accident, le chauffeur du taxi avait appelé des secours, et ce dernier recevait ses premiers soins. A côté de lui, l’autre homme présent pendant l’accident. Quand Se Hun revint enfin à lui, toute envie de pleurer la mort de celle qu’il aimait l’avait quitté. Il ne voyait plus qu’une chose : le responsable de l’accident, en train de se faire soigner, tout en parlant avec un homme d’âge mûr venant tout juste de mettre les pieds sur le lieu de l’accident. Non lui, des agents de police tentaient tant bien que mal d’empêcher des journalistes d’approcher. Se Hun se laissa tomber au sol. Sa jambe cria de joie. Il cria lui aussi. Mais pas de joie. Sa rage de voir des journalistes s’intéresser à l’accident, sa rage parce qu’il était lui aussi responsable de la mort d’Eun Ah, sa rage contre l’homme qui ne respectait pas les feux de signalisations (il est daltonien ou quoi ?!), sa tristesse aussi. Eun Ah était morte. Il ne pouvait plus rien y faire. Dans son cri, il y avait aussi un brin de curiosité. Pourquoi des journalises s’intéressaient tant à un pauvre petit accident ? Ce n’était pas la première fois, et rien n’était particulièrement impressionnant. La suite des évènements fut assez confuse. Se Hun semblait en transe, loin de là réalité. Son regard vide fixé le chauffard qui avait provoqué l’accident. Sa tête lui disait quelque chose. Comme s’il l’avait déjà vu… Ou plutôt comme si il était déjà apparus quelque part. Et puis il oublia cette pensée. Il retourna dans sa transe.
Se Hun se réveilla dans un sursaut. Cette fois ci pour de vrai. Dehors la pluie battait contre la vitre fermée, tandis que le vent hurlait sa douleur. Se Hun transpirait. Depuis plusieurs nuits cette nuit ne cessait de revenir le hanter. 5 mois le séparait de l’accident, mais cette nuit persistait à revenir quand il croyait avoir enfin réussis à s’en débarrasser. Cette nuit-là, après l’accident, il avait appris que le responsable n’était autre qu’un chanteur. Non un idole. Un de ces crétins à joli minois qui se trémousse sur scène en faisant une synchronisation labiale devant des fans qui n’y connaissent rien à la musique. Synchronisation labiale qui laisse à désirer en plus. Se Hun n’avait jamais aimé les idoles. Apprendre que l’un d’eux était responsable de la mort d’Eun Ah l’avait mis hors de lui. Depuis, il ne pouvait plus les voir en couleur. Le plaisir de voir la carrière de ce salop tomber à l’eau suite à l’accident n’avait été que de courte –très courte- durée.
Le lendemain matin, Se Hun pris ses clics et ses clacs (sa guitare et ses clopes) s’apprêtant à faire semblant d’aller en cours. Son beau-père voulait faire du rejeton de sa femme quelque chose, et il l’obligeait à aller en cours (chose que Se Hun ne faisait pas…). « Se Hun ?! » Ben tiens, quand on parle du loup… « J’ai à te parler. Viens. » L’interpellé lâcha un juron pas joli du tout et descendis. Son beau-père jeta un coup d’œil à la guitare du beau-fils. D’habitude, ce regard s’ensuivait d’une engueulade entre les deux hommes de la maison, mais cette fois-ci, au grand étonnement de Se Hun, il se mit à rire. Il devenait fou ? Une pensée ridicule lui balaya l’esprit (il allait enfin hériter ?) et repartit aussi vite qu’elle était venue. « Il se passe quoi au juste ? » ... Pour que vous ne vous énerviez pas en voyons ma guitare. C’est ce que sous entendais sa courte question. « Rien. Tu aimes faire du rock non ? Tu es plutôt doué comme musicien ? Et il me semble que tu veuille monter sur scène n’est-ce pas ? » Se Hun fit clair, rapide et relativement simple : « Oui, oui et encore oui. Et tu vas encore une fois me dire que je ne suis qu’un bon à rien qui ne mérite pas l’attention que tu sois disant me porte ? Que je ne ferais jamais rien de ma vie et que je suis la lie de la famille ? » Se Hun exagérais. Il ne lui disait jamais ça. Généralement, il déclarait qu’il nourrissait devrait suivre l’exemple de ses frères (demi-frères) et ses sœurs (demi-sœurs), et il lui rabâchait sans cesse qu’il gâchait sa vie à passer son temps à faire de la musique au lieu d’étudier. Quoi qu’il en soit sa réponse fut tout aussi simple que celle de Se Hun : « Non, non et encore non ! J’ai bien compris que te dire toujours la même chose ne changera rien. Tu es aussi borné que ta mère ! Et de toute façon, à part la musique tu ne sais rien faire d’autre. » Une carpe. Se Hun faisait étrangement penser à une carpe à ce moment précis. Si il pensait que son beau-père ne le surprendrait jamais, c’était raté. Il aurait pu se mettre à danser nu devant lui qu’il n’aurait pas réagis différemment. « Tu… tu veux dire que tu as abandonné l’idée de me faire arrêter la musique ? » C’est beau de rêver hein ? Evidemment, les rêves sont toujours trop beaux pour être vrai. « Non, pas le moins du monde. Mais comme tout espoir de te faire arrêter est vain, je te propose un marché. En fait, tu n’as pas vraiment le choix d’ailleurs. Je veux que tu continu des études. Alors tu as le choix : soit tu restes dans ton lycée, soit tu entre à Kirin. Cette école à bonne réputation, et tu pourras faire de la musique, on sera donc tous les deux satisfaits. » Non, pas du tout. Se Hun ne voulait pas aller à Kirin. Il détestait cette école de future idole, autant qu’il détestait les idoles. Kirin n’était pas une école artistique, à moins que « commercial » soit un nouveau synonyme d’art. D’un autre côté, rien ne luit obligeait d’approcher le monde des idoles, il pouvait toujours aller là-bas, faire sa musique à lui, et une fois le lycée terminé, bye bye Kirin ! « Ainsi tu y finis le lycée et tu as une université sous la main. » Génial, voilà qu’il se mettait à vouloir le faire aller à la fac… Aah, les beaux-pères… Se Hun allait bien évidement refuser. Il avait toujours rattaché Kirin aux idoles puisque beaucoup d’entre elles étaient issus de Kirin. Ce n’était rien d’autre qu’une machine à starlette pour lui. « Ah, et oui. Ce n’est pas discutable. Si tu veux que je te laisse tranquille après, tu dois aller à Kirin. »
Kirin Art School. Un cauchemar qui commençait à se réaliser. Certes l’atmosphère était agréable. On entendait des personnes chanter, jouer de la musique ou même danser. Il y avait de tout, et tous voulaient la même chose : réussir dans cette passion commune qu’étant la musique. Mais Se Hun ne pouvait se débarrasser de cette idée qu’il avait de Kirin. Il était aussi buté que son beau-père parfois. Lui c’était que son beau-fils fassent des études, et Se Hun, s’était que Kirin n’était pas fait pour lui. Tant pis, de toute façon, il était mineur, et comme l’avait si bien dit le mari de sa génitrice, il n’avait pas le choix, son tuteur avait tous les droits de lui obliger ça. Oh bien sûr Se Hun pouvait tout faire pour rater l’audition, mais quand on parlait de musique, avec lui ça ne plaisantait pas. Ce serait une insulte que de se mettre à bâcler sa propre audition. Et puis, ce n’était peut-être pas si mal ainsi… Se Hun récupéra son dossard et alla s’affaler sur un siège en attendant son tour. Il sortit sa guitare et refit quelques accords, pensif. En fait, c’était la première fois qu’il auditionner pour quelque chose. Il n’était pas vraiment stressé sachant qu’il ne serait pas déçu de ne pas être prit, et à part sa fierté qui prendrait un sérieux coup dur, il n’avait rien à perdre. Et puis d’un autre côté, il était toujours confiant en sa musique (non il ne se surestime jamais, Se Hun est un dieu point final…). Une voix sortit de nulle part appela un numéro. La voix répéta une fois, deux fois, et quelqu’un lui donna un coup de coude. Se Hun rata son accord et failla casser sa guitare sur la tête de celui qui l’avait dérangé. Ce qui lui sauva la vie fut qu’il comprit (enfin…) que c’était (enfin…) son tour. Chose étonnante quand il passa devant la source de la voix (qui étrangement était une personne en chair et en os, je vous étonne hein ?), il s’excusa. Première dans l’histoire de Se Hun qui ne s’excusait jamais.
L’audition fut rapide. Il arriva, gratifia le jury du bonjour de celui qui ne sait pas trop quoi faire, et il prit sa guitare et fit ce qu’il savait faire de mieux (non pas se battre… mais faire de la guitare). Il plaqua les accords et perdis le fil. Il jouait toujours de la guitare (logique il était là pour sa), mais ne fis pas vraiment attention au reste. Seule sa guitare l’importait. Quand le dernier accord se perdit dans le silence, il attendit, et le verdict fut rendu. Par quoi commencer ? Je sais que si je me laisse trop aller je vais faire un pavé qui ne veut pas dire grand chose. (la puasse je sais jamais quoi dire à ce moment de la fiche...). Je n'ai pas à proprement parler de pseudo (j'ai toujours été nul quand il s'agit d'en trouver un...), je vais avoir 16 ans le 19 mai et donc je RP depuis un peu plus de 5 ans (j'ai du commencer vers 10-11 ans...). Je ne ferais pas une liste des groupes ou artistes que j'aime, parce qu'elle serait trop longue, par contre, je peux faire une liste de ceux que je ne peux pas voir en couleur: Suju, SNSD et TVXQ. Quand je RP je ne fais que des perso masculin, premièrement parce que j'adore baver sur eux, et ensuite parce que j'ai jamais réussis à en aboutir un féminin.
Bref, voilà quoi (super manière de terminer n'est-ce pas ?) | |
Dernière édition par Nam Se Hun le Dim 28 Avr - 22:08, édité 2 fois |
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