Sujet: JUNG Il Kwon ♤ Sam 17 Oct - 12:53 | |
| Jung Il Kwon incarné par Choi Seung Hyung [T.O.P] | ÂGE - 23 ans. NATIONALITE - Sud-Coréenne. DATE DE NAISSANCE - 12/01/1993 LIEU DE NAISSANCE - Séoul. ETUDES/EMPLOI - membre d'A-Koustic FAMILLE - Nobody. GROUPE- Stardust Ent.
Infos joueur PSEUDO - miniKIN / Kwonnie ÂGE - 22 ans PRESENCE - 7/7 COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVES SUR KIRIN - [] top-site [] partenariat [X] via un autre membre [] autre NOMBRE DE COMPTES - deux (Han Hyo Seong) |
Personnalité Parano ♤ depuis l’agression de Jae Sun, je vois le mal partout. Tout le monde me veut du mal, tout le monde chercher à me nuire. Des personnes mauvaises se cachent dans les coins sombres des rues de Séoul et je ne peux m'empêcher d'y penser constamment. Renfermé ♤ vous vous souvenez du Il Kwon qui est arrivé à Kirin ? Non ? Et bien vous allez le découvrir à nouveau. J'évite les gens le plus possible, j'évite les contacts humains avec les personnes que je ne connais pas ou peu. Froid ♤ de même que je me suis replié sur moi-même, je parais froid et distant. Je ne veux pas que les gens m'approche, je n'ai pas envie de faire de nouvelles connaissances. Pourquoi le ferais-je ? J'ai déjà des amis, qui m'aime pour ce que je suis et pas pour le reste. Comment puis-je avoir confiance en ces gens ? En colère ♤ je l'avoue, j'en veux au monde entier. J'en veux à celui qui a attaqué Jae Sun mais j'en veux aussi à la sécurité de ne pas avoir fait son travail. J'en à ces gens qui pensent que les célébrités sont des êtres hors normes. J'en veux à mes parents, ces gens qui m'ont abandonnés quand j'étais petit. J'en veux à tout le monde. Point.
Concentré ♤ je le suis. Mon travail rythme ma vie. Je me concentre sur ce que j'apprends, sur ce que j'ai envie de faire, sur les envies de mes amis. J'essaye d'éviter de penser au passé mais cela est vraiment difficile alors je me concentre sur ce que je fais. Je m'occuper l'esprit. Acharné ♤ je passe ma vie à la Stardust Ent. Je veux que tout soit parfait, je veux que les gens se souvienne de moi un jour, je l'avoue mais pas tout de suite. Je veux faire les choses bien alors j'apprends. J'apprends pleins de choses qui me serviront plus tard, pour moi, pour A-Koustic. Disponible ♤ Malgré tout ça, je reste très disponible pour mes proches. S'ils ont besoin de moi j'accours. Je ne veux que leur bien. Observateur ♤ Quand je suis dans un lieu public je suis en mode radar. Je regarde tout, partout. Je regarde les gens, comment ils se comportent entre, j'essaye de deviner leurs prochaines réactions. J'apprends à connaitre les gens. J'observe aussi la ville et ses changements. Je veux graver tout ce qui est possible dans ma mémoire.
| Histoire - The past:
JUNG Il Kwon. Ceci est mon nom et retenez le bien car vous risquez d’en entendre parler pendant encore de très longues années ! Je suis né à Séoul en Corée du Sud un mois de janvier. Tout ce qu’il y a de plus banal me direz-vous. Sauf que ce petit être que j’étais, était destiné à une enfance et une vie de misère. Mes parents biologiques ont décidés ce jour-là, le jour de ma naissance, de m’abandonner. Ils me laissèrent devant les portes d’un grand orphelinat de Séoul, dans le froid et la neige sans aucun regard en arrière, quelques mois après être arrivé sur cette Terre. Je ne sais pas pourquoi ils m’ont abandonnés. Je ne leur ai jamais demandé. Peut-être le ferais-je un jour ? Peut-être aurais-je le courage de les confronter et de demander des comptes ? Mais pour le moment je préfère juste passer ma colère sur eux sans jamais leur avoir parler.
Je grandis donc dans un orphelinat. Je ne souhaiterais pas cela à mon pire ennemi. En disant cela, on pourrait penser que c’était l’enfer. Pour beaucoup d’entre nous, orphelins, c’est le cas. On grandit sans parents, avec des gens appelés Tuteurs et qui se fichent totalement de nous. Ce qu’ils attendent de nous, c’est que nous soyons sages et rentrons dans le moule sauf qu’en général, c’est tout le contraire qui se produit. Lorsque j’étais enfant, je n’étais pas un enfant très sociable. J’étais réservé, dans mon coin à attendre qu’une famille d’accueil veuille bien me prendre dans leur foyer. Je ne faisais rien de mes journées à part les corvées quotidiennes qui m’étaient imposées et d’attendre assis dans un arbre. Je ne m’attachais pas, je ne voulais pas devenir ami avec les autres. Je savais qu’un jour ou l’autre ils allaient partir et me laisser ici. Je ne voulais pas vivre de séparation, j’étais bien tout seul. Je n’avais pas de problème à proprement parler. Personne ne venait m’embêter et je n’embêtais personne.
C’est à 5 ans que je partis dans ma première famille. Ils avaient l’air gentils, j’étais vraiment très content qu’ils m’aient choisit. Mais je ne suis pas resté longtemps chez eux. Ils voulaient un enfant, certes, mais il voulait un enfant comme les autres. C’est-à-dire joyeux et plein de vie ! Montrant ses sentiments et les appelants Papa, Maman. Ce n’était pas moi. Je ne savais même pas rire. Je ne sourirais jamais. J’étais beaucoup trop solitaire pour ça. Ils ont donc décidés de me ramener à l’orphelinat et de prendre l’un de mes camarades qui lui passait son temps à rire de tout et de rien. S’il avait trouvé sa famille, tant mieux pour lui ! Les familles d’accueils s’enchainèrent par la suite. Je retournais toujours à l’orphelinat pour les mêmes motifs : pas assez joyeux, expressif, sociable. J’ai dû aller dans pas moins de 15 familles différentes. Il y en avait des gentilles comme des moins gentilles. Je me souviens d’une famille d’alcoolique. J’avais 13 ans, je m’étais toujours demandé comment ils avaient réussi à avoir ma garde. Ils tenaient à peine debout la plupart du temps et n’arrivait même plus à se souvenir de comment ils s’appelaient. J’ai dû essuyer beaucoup de coups jusqu’à ce que je m’enfuie et fut retrouver par la police me ramenant à l’orphelinat. Encore une fois.
Ma plus longue période dans une famille fut la dernière. La famille Choi. Un couple avec deux enfants. Je ne savais pas pourquoi ils m’avaient adopté, ils avaient déjà deux enfants à eux. Mais j’étais là tout de même. J’avais 14 ans, presque 15. Ils étaient vraiment très gentil, adorable même ! Ils faisaient tout pour que je me sente chez moi, à ma place, dans une famille, dans MA famille. Mais j’avais vécu beaucoup trop de choses, j’avais perdu cet espoir d’avoir une famille, de vivre avec. Mes rêves d’enfants avaient cessé, j’étais devenu un adolescent renfermé, froid et distant avec les gens. Je n’acceptais pas que l’on me touche, que l’on essaie d’être gentil avec moi. Leur gentillesse m’étouffait. Il n’empêche, que je développais quelque chose envers la fille de la famille. Je la protégeais, ce n’était pas ma petite sœur, elle aurait aimé que ce soit le cas mais je la protégeais tout de même en tant que telle. Elle était si gentille, si innocente !
Je n’ai jamais vraiment été très sympathique avec cette famille, ils ont fait tout leur possible pour moi mais j’étais trop borné, trop buté pour m’en rendre compte. J’étais jeune, je croyais que j’étais seul contre le monde entier. J’étais un enfant rebelle. Je passais mes nuits dehors dans les rues de Séoul à flâner, à aller dans les bars alors que je n’en avais pas le droit légalement. La journée aussi, quand je ne séchais pas les cours j’étais dehors. Je ne voulais pas être chez eux, je ne voulais pas m’attacher à eux je pense. Alors je les fuyais, je ne voulais pas apprendre à aimer. Je faisais donc la fête, je buvais beaucoup. Je ne fumais pas par contre, ne voulant pas non plus me gâcher la vie. Et ils ne me disaient rien. Ils ne savaient pas comment faire avec moi. Je ramenais de bon résultat au collège ce qui les contentait. Et moi, je draguais les filles, faisais beaucoup plus que ça et souvent, je me retrouvais au poste de police parce que j’avais volé quelque chose dans un magasin. Un vrai petit délinquant !
Enfin, l’année de mes 15 ans, je décidais de rendre visite à mes parents biologiques. Je m’étais donc lancé dans les recherches pour savoir qui ils étaient, où ils habitaient pour pouvoir leur rendre une petite visite et leur demander des comptes. Sauf que je ne m’attendais vraiment pas à ce que j’allais voir. Après plusieurs mois de recherches, j’avais retrouvé leur trace. Ils vivaient un peu à l’écart de Séoul mais vraiment pas très loin. J’avais pris le bus pour m’y rendre. Je m’attendais à de la joie venant de leur part quand je me présenterais à eux, à des excuses, à des pleurs. Mais rien de tout cela n’est arrivé. Quand je suis arrivé devant leur maison ce que j’ai vu m’a brisé. Ils étaient là, en pleine forme et en bonne santé jouant avec un enfant d’environ sept ans. Ils m’avaient abandonné, pourquoi ? Apparemment ils pouvaient s’occuper d’un enfant puisqu’ils en avaient un là, maintenant…Qu’est-ce que je leur avais fait pour mériter cela ? C’est à partir de cette journée que je commençais à composer. J’écrivais tout et n’importe quoi. Je rappais le plus souvent ce que j’avais mis à l’écrit plutôt que de le chanter. Je trouvais que le RAP avait plus d’impact pour défouler ma colère.
C’est à ce moment-là que je su ce que je voulais faire de ma vie. Il a donc été tout naturel que je fasse des recherches et que je tombe sur la Kirin Art School. Sachant que j’avais maintenant un but, je m’y tins. Je m’entrainais d’arrache pieds voulant être au top quand viendrait l’audition. Je travaillais aussi plus dur au lycée. Je ne savais pas encore les critères d’acceptation, je ne voulais rien rater. Je pris aussi sur moi, mon comportement devint moins autodestructeur. J’en voulais toujours à la terre entière mais je gardais ça au plus profond de moi. Parfois je l’écrivais pour extérioriser tout ça mais j’avais arrêté de me comporter en voyou. Quand vint les sélections, j’envoyai mon dossier le plus stressé qu’il était possible de l’être. Quand ma mère adoptive vint me donner la lettre de mon admission pour les sélections d’entrée, ce fut toute une chose ! Je travaillai encore plus si cela était possible et attendit le jour de l’audition avec impatience !
Le jour J arriva donc très vite. Ma famille d’accueil m’avait encouragé et m’avait préparé un petit déjeuner de champion ! J’étais donc parti le cœur léger. Je m’étais promis de leur donner une meilleure image de moi-même si je venais à être pris. Je me présentais à l’accueil où l’on me donna mon brassard et mon numéro de passage. Je m’installais sur une chaise attendant mon tour. J’étais tellement excité que je ne pouvais m’empêcher de regarder partout, de parler avec les autres. Alors que je ne connaissais même pas mes camarades de classe au lycée ! Puis ce fut mon tour… Le jury était là devant moi, je pris une profonde inspiration et commençait ma prestation. Je donnais tout ce que j’avais, j’avais tellement travaillé pour arriver ici que je ne pouvais pas me planter maintenant.
Quand je rentrai chez moi, j’avais le sourire jusqu’aux oreilles. J’avais hâte de l’annoncer à cette famille qui m’avait accueillis et qui, malgré mon sale caractère m’avait gardé parmi eux et m’avait aimé à leur manière. A peine étais-je entré dans le salon que des félicitations fusèrent de partout, des banderoles étaient accrochées aux murs. Comment avaient-ils su ? Je n’en savais rien mais pour la première fois de ma vie, j’étais fier de moi, j’étais aussi fier de cette famille d’accueil, de MA famille d’accueil. On fit la fête tous ensemble et nous couchâmes très tard. J’étais maintenant étudiant à la Kirin Art School et ça, je ne le devais qu’à moi-même.
Parlons maintenant de mes années à Kirin. La première année s’est passée sans encombre, je travaillais énormément trouvant toujours du temps pour me faire de nouveaux amis et une réputation de Bad boy. Je réussi ma première année avec brio et j’avais hâte de commencer la deuxième. Je rentrais pour les vacances dans ma famille d’accueil. Puis enchainais avec ma deuxième année. Je rencontrais, ou plutôt je retrouvais l’un de mes amis d’enfance : Kwan Seo Ji. Je ne pensais pas que je le reverrais un jour. J’étais vraiment heureux de le revoir et de passer du temps avec lui ! En troisième année, vint ce qui m’éleva au plus haut : Le Showcase de Kirin. Je le remportais avec Seo Ji, je n’en croyais pas mes oreilles mais la réalité était là. Nous avions remporté le droit de devenir Trainee dans la plus grande agence du moment : la White Entertainment. J’allais réaliser mon rêve plus vite que je ne l’aurais pensé même si la White ne correspondait pas forcément à ce que je me faisais de ma future carrière.
Après une année d’entrainement intensive, le duo SK vit le jour. Nous sortîmes un mini album qui marcha plutôt bien. Le seul problème dans tout ce bonheur ce fut Kirin. J’y étais toujours en tant qu’étudiant, travaillant d’arrache pieds sur les deux tableaux. Sauf que le directeur de Kirin en était à un point où il n’arrivait plus à gérer l’école. C’est donc tout naturellement que le directeur de la White prit le relai pour remonter l’école comme il se doit. Sauf que nous n’avions pas prévu le fait qu’il nous renverrait tous là-bas. Toutes idoles de son agence confondues. Tout cela suite au scandale avec Min Ho et Ming Mi, je ne comprenais pas d’ailleurs pourquoi ils en avaient fait tout un raffut…
Les couples étaient interdits au sein de l’école. Il fallait ne penser qu’aux cours et à rien d’autres. J’étais content un peu de cette situation –bon pas pour les couples hein- mais j’étais content d’être revenu seulement à l’école pour en profiter comme il se doit. Cette situation d’être sur les deux fronts m’avait exténué. J’avais donc tout le temps qu’il me fallait pour me reposer et me remettre d’aplomb. Puis l’école redevint normale, tout le monde retourna à son petit monde. Les années passèrent, Seo Ji disparut de la circulation, je restais tout seul et donc faire un duo tout seul était impossible. Je retournais pratiquement donc au statut de Trainee attendant que l’agence daigne me donner un groupe. Je travaillais dur à l’école, voyait ma famille d’accueil tous les étés et me rapprochait d’eux comme s’ils étaient ma vraie famille. Je ne me préoccupais plus de mes parents biologiques. Ils m’avaient abandonnés, oubliés alors je faisais de même.
Puis, Jae Sun et Hyo Soo débarquèrent. Le groupe A-Koustic vit le jour. Un trio qui déchire mais aussi un trio qui ne savait pas danser ahah ! Nous sommes devenus pratiquement des frères. Passant tout notre temps ensemble. Jonglant entre l’école et l’agence pour s’entrainer encore et encore. Puis une nouvelle agence débarqua. La Stardust Entertainment. Elle correspondait plus à nos critères que la White. Et pouf ! La Stardust du nous entendre car elle nous proposa un contrat que nous acceptions avec plaisir. Nous sortîmes un album, fait avec tout notre cœur. La réaction du public fut très bonne. Puis nous en sortîmes un second… Octobre 2016Nous étions enfin diplômés. L’école avait entre-temps changé de régime. C’était devenu une école ouverte. J’y avais séjourné en tant qu’élève pour ma dernière année mais aussi en tant que mentor à aider les nouveaux. Nous avions donc préparé notre deuxième album. Nous nous y étions vraiment mis voulant qu’il soit parfait, à notre image. Pour lancer la promotion, nous avions décidé de faire un showcase dans la rue. C’était tellement génial ! Je ne pensais pas que tant d’émotions pouvaient s’épanouir comme ça avec autant d’intensité. Plusieurs showcase vinrent par la suite. C’était toujours aussi sympa de partager ce moment avec le public. Puis il y a eu ce showcase… Au début tout se passait pour le mieux, le public était présent, des fans même étaient là. Mais les psychopathes aussi apparemment. Un mec sortit de nulle part s’attaqua à nous. Il avait un couteau en main et avant que la sécurité ait pu le neutraliser, il blessa Jae Sun à la cheville. Tout se passa très vite, j’attrapais Jae Sun qui avait mal et qui avait du mal à marcher avec Hyo Soo on le sortit de là et l’emmena très rapidement à l’hôpital où il y resta deux semaines. Ce fut la pause pour A-Koustic, Jae Sun était à l’hôpital. Les journalistes par contre prenaient cette affaire très à cœur. Elle inventait des tas de choses complètement stupides. Nous vivions toujours à l’appartement, nous soutenant les uns les autres. Aidant Jae Sun dès son retour de l’hôpital. Cette agression eut un réel impact sur moi. Je me rendis compte que j’étais devenu quelqu’un que je n’étais pas forcément. Quelques jours après que Jae Sun ait été hospitalisé, je me lançais dans les cours de Taekwondo. Il fallait que je puisse protéger mes amis et que je puisse me protéger moi-même. Je ne parlais plus à tout le monde comme je le faisais avant. Je ne faisais plus confiance à personne de nouveau. Je devenais parano et je ne m’en rendais même pas compte. Aujourd’hui, je travaille toujours à la Stardust Entertainment. Je travaille sur des textes, je compose et j’apprends aussi beaucoup de chose sur comment réaliser un album et tout ça. Je n’ai pas mis les pieds à Kirin depuis un petit moment maintenant. Cela me manque un peu. C’est un peu comme ma maison après tout. Enfin, on verra maintenant ce que l’avenir nous réserve ! On ne peut rien prévoir… | © MINA POUR KAS |
| Jung Il Kwon♫ DC : Han Hyo Seong [Song Ji Eun] ♫ AVATAR : Choi Seung Hyung - T.O.P ♫ ÂGE : 23 ans ♫ POINTS : 152
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