AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -23%
EVGA SuperNOVA 650 G6 – Alimentation PC 100% ...
Voir le deal
77.91 €

Partagez
 

 Koizumi Yûji | 夢は見る物じゃなくて叶える物。

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
MessageAuteur
MessageSujet: Koizumi Yûji | 夢は見る物じゃなくて叶える物。   Koizumi Yûji | 夢は見る物じゃなくて叶える物。 EmptyDim 3 Mai - 1:57

Identité

J'ai 26 ans et je suis né(e) le 02/03/1989 à Tokyo. Je suis Japonais avec des origines Japonaises. Dans ma famille, on compte mes parents, et moi.
Je vis à Séoul depuis 04/2010, et j'habite dans le secteur Moyen.

Staff de Kirin

Ft. Mukai Osamu
Code:
Mukai Osamu as <a href="http://www.kirin-art-school.net/u147">Koizumi Yûji</a>

Derrière l'écran

Je suis Mina, et j'ai 22 ans. Je viens de Aix en provence. J'ai connu Kirin via toujours moi !, et je serai présent(e) 7 jours sur 7. Un petit mot ? bouyaaaah.

Koizumi Yûji


I, my, me, mine
Sans être totalement lunatique, Yûji est plutôt d’humeur changeante. Il est difficile de savoir sur quel pied danser avec lui car, il est capable de passer d’une émotion à l’autre avec une rapidité déconcertante. Sensible, il est facilement affecté par les événements qui surviennent dans sa vie et met toujours plus de temps que les autres à s’en remettre, enfin, c’est ce qu’il pense. Il a eu un mal fou à se remettre de sa dernière relation, qui l’a décidé à devenir host dans un bar afin de mettre un terme à toute envie de construire une relation amoureuse. Il ne s’est toujours pas remis de l’abandon par son père, du fait qu’il soit plus intéressé par la succession de son entreprise et ses partenariats à travers l’Asie que de son propre fils. Son père n’a jamais daigné s’intéresser aux passions de son fils, qui n’avait cure de l’architecture et préférait la comédie.
Cependant, lorsqu’il s’agit de prendre une décision, Yûji sait toujours garder la tête froide et faire la part des choses. Jeune homme réfléchi, ce n’est pas le genre à foncer tête baissée quand il lui arrive quelque chose. C’est plutôt du genre à se poser, s’isoler et médite à sa situation. Plutôt calme de nature, il est rare qu’il se mettre en colère, il faut vraiment le pousser dans ses retranchements.
Aussi, il est très difficile de cerner Yûji, savoir ce qu’il ressent etc, et ce grâce au théâtre. A force d’entraînement, il réussit désormais très aisément à dissimuler émotions et sentiments qu’il ne veut pas montrer aux gens. Vous ne saurez donc jamais s’il va bien ou non, ou alors c’est qu’il vous l’aura dit. D’ailleurs, il est inutile de lui courir après pour lui demander si ça va ou s’il a besoin d’aide, il vous enverra paître à coup sûr. N’aimant pas la compagnie envahissante, rassurez-vous il saura venir vous chercher s’il a besoin de votre présence à ses côtés. Mais en général, c’est quelqu’un qui préfère avancer seul, car ayant vécu diverses trahisons dans son passé, il n’est plus très amène à faire confiance aux gens.
A côté de ce côté taciturne et distant, Yûji est une personne plutôt intelligente qui a toujours réussi dans ses études, mais c’était plus par pression familiale –ou plutôt paternelle, que par réel intérêt pour les études. D’ailleurs, s’il avait voulu fréquenter les grandes écoles de sciences po’ ou de médecine, il ne serait pas à Kirin Art School à l’heure qu’il est. Sa « fuite » en Corée du Sud, qu’il ne considère d’ailleurs pas comme telle, a été mûrement réfléchie. Il ne comptait pas subir davantage la pression exercée par son père sur son compte, et attendait juste le moment propice pour prendre son indépendance. C’est chose faite, puisqu’il survit dans un pays qui lui était totalement inconnu à son arrivée, il ne parlait même pas la langue … Il s’est trouvé un travail, vit sur le campus de l’école, subvient seul à ses besoins malgré le fait qu’il ait été déshérité par son père. Yûji est quelqu’un d’indépendant, et sait très bien se débrouiller, même dans des situations où il pourrait se retrouver déboussolé.

The story of my life
Je ne suis pas vraiment un garçon avec une histoire extraordinaire, du moins, je ne me considère pas comme tel. Certains auront pu envoyer mon statut, du fait que mon père est un architecte de renom et ma mère une peintre plutôt connue. Je n’ai jamais vécu dans le besoin, durant mon enfance, je peux l’admettre sans souci puisque c’est la vérité.
Mon père a toujours été du genre exigeant avec moi. Etant son seul fils – pour le moment, il me mettait beaucoup de pression et dès mes premières années à l’école maternelle, il fallait déjà que je prouve mes capacités intellectuelles, et cela m’ennuyait beaucoup. J’étais intelligent, il le savait, j’ai appris à lire plus tôt que les autres, du coup pendant que mes camarades jouaient dehors, moi je devais rester en classe pour m’avancer. Mon père avait même pris rendez-vous avec mon enseignante pour lui dire qu’il fallait vraiment me pousser en avant, sans hésiter. Il a aussi voulu me faire sauter une classe en primaire, j’ai refusé catégoriquement, le menaçant d’arrêter de faire des efforts s’il le faisait quand même. J’étais un gosse, et il a cédé à un gosse. A partir de là, j’ai cru que j’aurais toujours le dessus sur lui, mais je me trompais lourdement.

Mon père m’a inscrit dans un collège privé, et me faisait assister à des cours du soir. De toute façon, je n’étais pas une exception, nombreux étaient les jeunes au Japon à suivre les cours du soir. Sauf qu’au lieu que ce soit dans mon collège, c’était à domicile, avec tuteur. Ma vie était déjà écrite, et jouée. Je m’ennuyais vraiment quotidiennement, sachant déjà ce qui allait se passer. Mon seul échappatoire était le club de théâtre auquel je m’étais inscrit dans mon école. Jouer des rôles éloignés de ma vie et mon caractère me faisait m’évader et me donnaient l’impression d’être plus intéressant, que ma vie était plus dynamique.
Le lycée fut le même scénario, écoles privées et tout ça. Mon père avait de grands espoirs pour moi, espérant que je travaillerai à ses côtés dans son cabinet d’architecture. Mais qui a dit que je voulais être architecte ? Encore une fois c’était un avenir que je n’avais nullement décidé. Je ne m’étais jamais passionné pour cet art, personnellement on m’aurait posé la question, j’aurais dit que je voulais être comédien. Après tout, cela ferait un artiste de plus dans cette famille, après ma peintre de mère.

Une fois diplômé du lycée, mon père m’inscrivit dans une prépa en vue d’intégrer une prestigieuse école d’architecture – dans laquelle il avait bien évidemment étudié et pour laquelle il présentait parfois des travaux d’exemple. Déjà las avant même d’avoir mis les pieds dans cette école ennuyeuse, sachant que j’allais encore passer des nuits blanches bosser pour quelque chose que je n’aimais pas, je n’avais pas abandonné mon idée de faire de la comédie mon métier. Mais je ne savais pas comment m’y prendre.
La solution vint d’elle-même quand, juste après avoir fêté ma majorité, mon père décida de m’envoyer en Corée du Sud, car il avait des partenaires là-bas et désirait que je sois le représentant de son cabinet à Séoul. L’envie de refuser était forte, qu’est-ce que j’allais bien pouvoir faire à Séoul ?! Je n’avais même jamais appris le coréen, et je n’étais pas non plus bilingue en anglais ! Cependant, en y réfléchissant, je me dis que c’était peut-être ma chance d’échapper à mon père et à sa pression.

J’ai donc pris mes billets pour Séoul, écouté les instructions de mon père, et laissé une lettre à ma mère en lui expliquant que je ne reviendrai sans doute pas à Tôkyô avant longtemps, et qu’il ne fallait pas qu’elle en parle à mon père. Elle me soutenait, au fond, sans le montrer devant son mari.
Une fois arrivé à Séoul, alors que j’avais des directives très précises, je ne me rendis jamais au cabinet partenaire de celui de mon père. A la place, j’errais dans la capitale coréenne en profitant de l’argent que m’avait mis mon père sur mon compte pour faire du tourisme. Et c’est comme ça que je découvris Kirin. Une école qui permettait aux jeunes de vivre de leur passion, que ce soit le chant, la danse, la musique ou …. Le théâtre. Voyant là mon opportunité, je me suis remis à travailler une pièce que j’avais étudié au collège et décidai de passer l’audition de la section université de Kirin. Malgré mon stress et mon manque de confiance en moi, j’ai réussi l’audition et ai pu commencer de nouvelles études dans un milieu qui me plaisait.

Quand mon père découvrit que je ne m’étais jamais rendu chez ses partenaires, il décida de me déshériter et de me couper les vivres. Je m’y étais préparé, et cela ne m’avait nullement surpris venant de lui. J’avais donc déniché un emploi sommaire dans un restaurant, comme beaucoup de jeunes. J’aurais préféré trouver mieux, un jour on m’a dit que ma belle gueule pourrait bien me servir pour être host, mais je me voyais mal dans ce métier.
J’ai eu une relation avec une fille à Kirin. Et puis cette histoire s’est tellement mal finie que je me suis décidé à ne plus avoir de relations avant un moment. J’ai finalement troqué mon poste de serveur qui ne me rapportait pas grand-chose pour le métier de host qu’on m’avait proposé et qui était mieux payé –histoire qu’une fois que j’ai payé ma chambre au campus je puisse au moins me payer à manger. Je fais partie des hôtes difficiles qui se contentent de passer du bon temps avec les femmes mais qui ne vais jamais plus loin que quelques verres et un bon repas dans les salles réservées. Parfois je vais au karaoké avec une cliente, mais il est hors de question qu’elle me touche.

J’entre dans ma dernière année d’études. Je me donne corps et âme dans le théâtre car je considère que je n’ai plus que ça, puisque ma famille m’a rejeté, du moins mon père. Je correspond par courrier avec ma mère, quand j’en ai le temps, pour lui donner des nouvelles. Elle est rassurée que j’aille bien. Quant à ma vie amoureuse, je n’ai pas envie de revivre la trahison du passé alors je fais l’impasse. J’ai bien quelques amis, mais cela reste très superficiel pour moi . . . Alors oui, je n’ai que le théâtre.

***

Il s'en est passé des choses pendant cette fichue scolarité. j'ai résisté pendant 4 ans dans une école qui forme des idoles, personnes que j'ai à la base en horreur.
Mes trois premières années à Kirin furent relativement calmes. J'étudiais avec acharnement, puis je me rendais à mon petit boulot de Host, et comme ça, quotidiennement. Je ne dormais pas beaucoup mais ça me convenait, j'avais réussi à trouver un rythme.
A partir de la 4ème année, tout s'est bousculé. Entre cette fille qui me sommait d'arrêter mon travail car elle trouvait cela dégradant, la proposition d'emploi à la White Entertainment et la rencontre avec Yoon Su Jin, cela a fait beaucoup d'un coup.
En effet, durant ma dernière année, le directeur de l'agence m'a demandé d'intégrer un groupe Japonais venant faire ses débuts en Corée du Sud. Que pouvais-je faire d'autre qu'accepter ? J'avais besoin d'argent, c'était un moyen de peut-être rencontrer des gens issus du milieu du cinéma ou du théâtre en faisant connaître mon visage, j'ai donc accepté d'intégrer PRAYER. Je connaissais le leader de vue. J'ai eu du mal à m'intégrer au groupe, déjà parce qu'ils se connaissaient depuis longtemps et que je débarquais comme une fleur, mais aussi parce que depuis que je vis en Corée du Sud, je suis devenu distant et solitaire, alors me retrouver subitement dans un groupe fut relativement compliqué. Mais bon, les autres m'ont accepté et ont reconnu mes capacités. J'ai dû me remettre sérieusement à la guitare, que j'avais décroché depuis mon entré à Kirin ,et m'inscrire en double cursus de musique en plein milieu d'année alors que je ne l'avais jamais suivi. Mais c'est comme le vélo, ça s'apprend une fois puis les bonnes habitudes reviennent. Et j'ai quitté mon emploi d'host, ne voulant pas avoir d'ennuis avec l'agence.
En parallèle, j'ai commencé à assister aux cours des années inférieures pour voir s'il y avait des gens talentueux. J'ai fait l'agréable connaissance de Yoon Su Jin, une élève qui m'a bluffée et avec qui j'ai fait un duo d'improvisation sans prévenir personne. Nous nous sommes retrouvés ensembles pour l'événement annuel de la Saint-Valentin et le défi qui nous avait été attribué était particulièrement intéressant puisqu'il s'agissait d'une impro, une fois de plus. Puis on s'est recroisés une autre fois par hasard dans une salle de Kirin, tandis qu'elle semblait s'entraîner à la danse et que moi je cherchais à m'isoler en salle de musique pour répéter les morceaux de PRAYER. Je ne sais pas ce qui m'arrive, mais je ressens toujours ce besoin de la voir, lui parler, l'observer ... Je m'étais pourtant promis de ne plus ravoir de relation amoureuse depuis mon dernier échec qui m'avait refroidi.
Plus récemment, PRAYER a subi quelques désagréments. Enfin à mes yeux ce ne sont que des désagréments puisque je n'avais pas intégré le groupe depuis assez longtemps pour m'y attacher, mais pour Kai et Taiki, ce fut un violent choc. Seung Leigh a annoncé non sans une pointe d'amertume, qu'il quittait le groupe car on lui avait proposé une carrière solo au Japon. Bien sûr, je n'y croyais pas une seule seconde mais je n'avais rien dit, laissant Taiki toucher le fond en frappant l'ancien leader et en lui hurlant dessus, avant qu'il ne se renferme sur lui-même. Kai aussi a plongé bien bas. Moi qui avait pris l'habitude de les voir faire les singes tous les jours, s'amuser pour un rien, quitte à lancer une bataille d'eau dans l'agence, j'étais relativement choqué de voir ce qu'ils étaient en train de devenir. Impuissant même. Que pouvais-je faire ? Je ne suis pas assez proche d'eux, et je ne les connais quasiment pas au final. Alors je laisse faire, me demandant si les choses vont s'arranger un jour ...
Enfin, alors que je suis enfin diplômé de cette école et que je pensais en être débarrassé, le nouveau directeur et mon patron de l'agence m'a proposé, connaissant mon talent, de revenir en tant qu'enseignant à Kirin. Il faut avouer qu'avec la réforme et les idoles qui retournent à l'école, la perspective d'enseigner plutôt que de retaper encore une année scolaire dont je n'ai pas besoin était intéressante. Puis il me fallait un salaire pour payer le studio que je m'étais acheté, PRAYER suspendait ses activités et ce n'est pas facile de trouver quelqu'un pour signer un contrat d'acteur / comédien en claquant des doigts à la sortie de l'école. Aussi réputée soit-elle. J'ai donc demandé à réfléchir consciencieusement et ai continué d'assister aux cours d'années inférieures pour observer mon collègue. Et finalement, j'ai accepté. Je peux enseigner ma passion, continuer de voir Su Jin et payer mon loyer, je fais d'une pierre non pas deux mais trois coups !

***

Je suis toujours prof à Kirin, ça fait deux ans maintenant. Je suis passé de remplaçant à titulaire, et je suis toujours guitariste de PRAYER. Je suis même passé leader sans rien avoir demandé à personne. Taiki a dû être hospitalisé et donc on s'est retrouvés à deux avec Kai pendant un temps, à réfléchir à ce qu'on allait devenir. Puis le directeur nous a mis dans une colère noire en recrutant un bassiste dans notre dos et en nous collant un p'tit gosse à peine sorti du lycée dans la formation, j'ai nommé Sanada Aki. J'ai eu vraiment du mal à l'accepter ce petit gars, et puis j'ai accepté de faire l'effort. Notre manager m'avait demandé d'être mature en tant que leader et de gérer les tensions entre Kai et Aki, et pour ça je devais déjà apprendre à supporter le petit nouveau.
Ce fut fastidieux au début mais maintenant ces deux-là vivent ensemble, depuis qu'on a changé d'agence en fait. Aki vivait à la White et ne pouvait plus y rester, donc il occupe une chambre dans l'appartement de Kai d'après ce que j'ai entendu. Moi ? Je vis toujours seul et je m'en porte très bien.
Avec la nouvelle réforme, je vais avoir du pain sur la planche à Kirin, c'est bien ça va m'occuper l'esprit. Quant à PRAYER, je ne sais pas trop où on va, Kai est aux abonnés absents depuis le Brunch d'inauguration ...

Koizumi Yûji
Koizumi Yûji
♫ DC : Kang Jae Sun ─ Yoon Min Ho
♫ AVATAR : Mukai Osamu
♫ ÂGE : 27 ans
♫ POINTS : 146
Théâtre

http://odis.forum-actif.netKoizumi Yûji | 夢は見る物じゃなくて叶える物。 Empty
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Koizumi Yûji | 夢は見る物じゃなくて叶える物。   Koizumi Yûji | 夢は見る物じゃなくて叶える物。 EmptyDim 3 Mai - 1:58

à Kirin

♪ Pourquoi travailler à Kirin ?
J'étais étudiant ici et à l'époque où j'ai fini mes études et où le directeur Jang venait de prendre les rênes de l'école, il m'a demandé de remplacer un prof parti à la retraite. J'avais besoin d'argent donc j'ai accepté, surtout que PRAYER venait de suspendre ses activités. Et j'y suis resté.

♫ Quel métier exercez-vous ?
Je suis professeur de théâtre. J'étais d'abord prof d'initiation aux métiers d'acteur, puis j'ai commencé à donner des cours de théâtre dans ma 2ème année et maintenant avec la réforme je fais un peu de tout.

♪ Quelle est votre expérience actuelle dans votre métier ?
Je fais du théâtre depuis le collège, quand j'étais encore au Japon. Après 4 ans à Kirin, voilà deux ans et demi que j'enseigne dans l'école. Concernant PRAYER, je joue de la guitare depuis le lycée et j'ai repris juste après avoir intégré le groupe. J'ai également deux bonnes années d'expérience.

♫ Quels sont vos projets pédagogiques pour animer les ateliers (profs) ?
Je suis quelqu'un qui joue beaucoup via les improvisations. J'aime voir comment les étudiants se débrouillent avec seulement une ébauche de thème, et réussissent à créer quelque chose qui leur appartient. Moi-même j'improvise beaucoup au jour le jour.

♪ En parallèle de votre poste à Kirin, avez-vous une carrière dans les arts de la scène ? (profs)
Oui, je suis guitariste et leader du groupe PRAYER. Mais en ce moment on n'est pas beaucoup actifs donc à part zoner à l'agence pour faire genre ...
Koizumi Yûji
Koizumi Yûji
♫ DC : Kang Jae Sun ─ Yoon Min Ho
♫ AVATAR : Mukai Osamu
♫ ÂGE : 27 ans
♫ POINTS : 146
Théâtre

http://odis.forum-actif.netKoizumi Yûji | 夢は見る物じゃなくて叶える物。 Empty
Revenir en haut Aller en bas
 
Koizumi Yûji | 夢は見る物じゃなくて叶える物。
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
» K I R I N • :: ONCE UPON A TIME :: Auditions :: Auditions à repasser-