Duan Naraï

Naraï c’est… un pitre. Un pitre de classe mondiale. De nature très joyeuse, c’est encore un enfant. C’est à se demander s’il grandira un jour. En tout cas, ce n’est pas du tout prévu pour le moment. En bon Thaïlandais, il a toujours le sourire sur les lèvres et ne perd pas facilement courage. C’est en effet un garçon plein de vie et de rêve. Obstiné, on le décrit souvent comme un garçon hyperactif. Tellement même que ça vous en donnerait la migraine. La fatigue ne semble pas l’atteindre, toujours prêt à danser ou faire des pitreries.

Il n’est pas non plus quelqu’un de malpoli, même si parfois, il profite un peu de son statut d’étranger pour déroger à quelques règles de politesses Coréennes. Taquin ? Un peu trop. Quand il s’est trouvé une cible, il peut vite devenir très lourd, même si ça ne part pas d’un mauvais sentiment. Son plus gros défaut ? Celui de toujours vouloir être vu. Il aime qu’on sache qui il est, qu’on le reconnaisse. Quelque peu frimeur, il a tendance à n’en faire qu’à sa tête. Pour lui, ses idées sont toujours les meilleures.

Derrière ses airs malicieux, il est aussi quelqu’un de très travailleurs. Non, il a toujours détesté les sciences, faut pas trop demander non plus. Travailleur quand ça touche à la danse ou à tout autre domaine artistique. Il n’aime pas rester assez sur une chaise, il a besoin de bouger pour réussir à faire quelque chose ! Une vrai pile électrique ce gosse.

C’est aussi quelqu’un de très attentionné. Quand il arrive à rester calme plus de trois secondes, il est à l’écoute de ses proches, présent quand il faut une épaule sur qui pleurer (pas trop quand même, il aime pas le repassage). Parlons-en d’ailleurs du repassage. Jeune mais autonome. Cela décrit très bien Naraï. Il a quitté la Thaïlande seul, ses parents étant resté au bercail, il fallait donc qu’il se débrouille de lui-même. Vrai petite fée du logis, il sait tout faire, de la cuisine au ménage. Vivre avec lui, c’est cependant supporter son sens de l’ordre… très particulier. Pour lui, quelque chose de ranger à sa place, c’est par terre, au milieu du salon. Il se sent plus à l’aise dans le bazar. A ses yeux, ce sont justes les autres qui ont une vision de l’ordre à revoir, pas lui. Après tout, tant qu’il retrouve ses affaires dans son bazar, pourquoi devrait-on se plaindre ?

Aah… venons au sujet le plus délicat. Les relations. Tout d’abord, les demoiselles. Sachez que Naraï est quelqu’un de très pudique. Si devant la gente masculine, il est complètement indifférent, devant les demoiselles, il ne supporterait pas de devoir enlever ne serait-ce que son haut. On ne touche pas à son torse ! Il a aussi tendance à regarder de trop près certaines demoiselles. Obsédé ? Il ne se cache pas du tout ça d’ailleurs. C’est bien connu, Naraï égale obsédé ! Dragueur aussi… il n’aime pas se sentir seul, et va souvent chercher du réconfort dans le cœur d’une demoiselle. Se prendre un râteau ne l’arrête nullement, toujours motivé pour partir à un autre assaut. De même, il est assez possessif. Qu’un monsieur vienne lui piquer ses boobs sur pattes, et vous voilà face à une furie d’un mètre soixante-dix… oui ça fait pas peur.

→ Vous pouvez parlez à la 1ère / 2ème / 3ème personne.
→ Vous pouvez rédiger ça de la façon dont vous voulez.
→ Sans détailler chaque minute de sa vie, vous devez expliquer les grandes lignes de l'histoire de la musique, notamment : comment il a connu l'univers de la musique, s'il a rencontré des difficultés, si son entourage est pour ou contre, comment en est-il arrivé à postuler à Kirin malgré tout (et malgré la réforme scolaire). /!\ DECRIVEZ L'AUDITION, MERCI.
→ Evitez les pavés. Grand maximum 2 pages Words s'il vous plaît.
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